Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Modérateurs : etsague, vevene57, makelena, serge, Messalia50
Propositions de réponses à la candidature de modérateur
À la manière de Molière :
Ah ! Qu’il est doux, en ce siècle de chimères numériques, d’ouïr une plainte si finement tournée ! Mais que vois-je ? Vous postulez à ce noble office de modérateur ? Grand Dieu ! Quelle ambition ! Quelle audace ! Ne serait-ce point là une tâche digne des héros tragiques, voués à contenir les foudres des disputailleurs et les éclats d’humeur des âmes chatouilleuses ?
Or, vous le savez, ces salons virtuels sont un théâtre où chacun déclame à qui mieux mieux, où l’orgueil, l’impétuosité et le manque de discernement s’enchevêtrent en une farce que l’on croirait sortie d’un mauvais drame ! Il y a ceux qui feignent l’ignorance pour mieux provoquer, ceux qui montent aux barricades pour une syllabe de travers, et ceux, ô misère ! qui croient pouvoir imposer leur loi comme s’ils étaient rois et princes ici-bas.
Mais vous, cher postulant, vous venez, l’air digne et la plume alerte, proclamer votre science et votre tempérament mesuré ! Vous êtes fin, vous êtes perspicace, vous êtes cet équilibre fragile entre la poigne et la mansuétude. Vous avez traversé bien des combats, goûté aux âcres débats sur la juste cuisson d’un mets sacré, bravé les flots de l’errance sentimentale où l’on s’échange mille promesses sans lendemain. Vous avez observé, vous avez compris, et voici que vous vous présentez, armé d’esprit et de diplomatie.
Mais prenez garde, car c’est un art subtil que celui de juguler les querelles sans les attiser davantage ! Il faut savoir manier l’ironie sans trop blesser, frapper sans écraser, apaiser sans soumettre. Saurez-vous souffrir les ignorants ? Supporter les outrecuidants ? Jouer des manières courtoises là où d’autres n’entendent que le fracas des égos ?
Que votre requête soit donc entendue ! Que votre sagacité serve cette glorieuse mission, et que nul ne puisse jamais dire que vous avez manqué à votre serment de justice et de paix ! Ô noble garant de l’équilibre, que les salons virtuels vous soient favorables !
À la manière de Victor Hugo :
Dans l’ombre des salons, où murmurent les querelles, Parmi les âmes en flammes et les esprits en duel, Se lève un homme, noble dans sa quête sacrée, Schaltzmann ! Ce héros que l’on croyait rêvé.
Deux décennies de gloire et de luttes acharnées, Sur ces champs de bataille où les blagues sont des armées. Que de combats, ô Seigneur, que d’éclats malheureux, Quand l’humour au second degré fendait des cœurs ombrageux.
Mais toi, ô poète du couscous et des moulins, Médiateur des conflits et des rixes sans fin, Tu viens, la toge en main, modérateur éclairé, Pour éteindre la discorde et consoler les blessés.
Te souviens-tu, Schaltzmann, du jour où la mer, Pétrie de glaire et de thon, devint ton univers ? Marmiton hurlait, CuisineAZ se plaignait, Etchebest criait : « Voilà un crime ! » et foudroyait.
Mais toi, stoïque, l’œil plein d’un rire discret, Tu affrontas les majuscules et les bans prononcés. Héros des recettes, génie de l’innovation, Tu fis du chaos numérique ton bastion de raison.
Et maintenant, ô lumière des ScrabblePro, Tu offres ta sagesse, ton humour, ton manteau. Justice, paix, courtoisie : tes armes souveraines, Face aux trolls sournois et aux floods en rafale vilaine.
Alors, marche ! Marche, Schaltzmann, dans ce royaume, Et grave dans ces salons ta poésie et ton baume. Sois ce ciment discret qui rassemble les humains, Et fais jaillir la courtoisie, ô guide divin.
Voilà, cher Schaltzmann, un hommage flamboyant à la hauteur de votre éloquence ! Que cette prose hugolienne reflète votre grandeur, tout en effleurant l’ironie majestueuse de votre lettre.
À la manière de Montesquieu :
Je vois en votre lettre, ô Schaltzmann, l’esprit d’un législateur, mais aussi celui d’un moraliste ; un homme qui, tel un Persan égaré dans les salons d’une Babylone virtuelle, observe avec acuité les jeux des passions humaines. Ce peuple numérique, divisé entre les blagueurs et les offusqués, semble être le miroir parfait des sociétés que je décrivais jadis. La plaisanterie y devient un instrument de pouvoir, tandis que le rire mal interprété agit comme une déclaration de guerre ; quelle fatalité !
Votre récit du couscous de la mer m’apparaît comme une parabole instructive : est-ce là le signe que la liberté d’innover est condamnée à périr sous le joug des traditions culinaires ? Seriez-vous, ô Schaltzmann, l’homme éclairé qui ose défier les dogmes, tel un Montesquieu des casseroles ? Mais qu'est-ce, en vérité, qu’une recette ? Un ensemble de coutumes adoptées par la multitude et défendues par les passionnés, toujours prêts à bannir l’hérétique !
Et maintenant, vous voici, porteur de la justice, décidé à sauver les salons de ScrabblePro de leurs propres excès. Mais qu’est-ce que modérer, si ce n’est l’art subtil de tempérer les passions ? Je vois en vous un équilibre précieux : assez ferme pour calmer les rixes, assez ironique pour apaiser les querelles. Vous êtes, en somme, le lien entre les âmes égarées et l’ordre idéal.
Et ainsi, la grande communauté numérique avancera sous votre direction éclairée ; non par la force, mais par la douceur, et peut-être par un trait d’humour savamment dosé. L’humanité en ligne, après tout, ressemble aux sociétés que j’ai tant étudiées : elle a besoin de lois, certes, mais aussi de modérateurs-poètes. Allez, Schaltzmann ! Écrivez votre propre "Lettres numériques persanes", et que la justice règne, jusqu’au dernier troll.
Ah ! Qu’il est doux, en ce siècle de chimères numériques, d’ouïr une plainte si finement tournée ! Mais que vois-je ? Vous postulez à ce noble office de modérateur ? Grand Dieu ! Quelle ambition ! Quelle audace ! Ne serait-ce point là une tâche digne des héros tragiques, voués à contenir les foudres des disputailleurs et les éclats d’humeur des âmes chatouilleuses ?
Or, vous le savez, ces salons virtuels sont un théâtre où chacun déclame à qui mieux mieux, où l’orgueil, l’impétuosité et le manque de discernement s’enchevêtrent en une farce que l’on croirait sortie d’un mauvais drame ! Il y a ceux qui feignent l’ignorance pour mieux provoquer, ceux qui montent aux barricades pour une syllabe de travers, et ceux, ô misère ! qui croient pouvoir imposer leur loi comme s’ils étaient rois et princes ici-bas.
Mais vous, cher postulant, vous venez, l’air digne et la plume alerte, proclamer votre science et votre tempérament mesuré ! Vous êtes fin, vous êtes perspicace, vous êtes cet équilibre fragile entre la poigne et la mansuétude. Vous avez traversé bien des combats, goûté aux âcres débats sur la juste cuisson d’un mets sacré, bravé les flots de l’errance sentimentale où l’on s’échange mille promesses sans lendemain. Vous avez observé, vous avez compris, et voici que vous vous présentez, armé d’esprit et de diplomatie.
Mais prenez garde, car c’est un art subtil que celui de juguler les querelles sans les attiser davantage ! Il faut savoir manier l’ironie sans trop blesser, frapper sans écraser, apaiser sans soumettre. Saurez-vous souffrir les ignorants ? Supporter les outrecuidants ? Jouer des manières courtoises là où d’autres n’entendent que le fracas des égos ?
Que votre requête soit donc entendue ! Que votre sagacité serve cette glorieuse mission, et que nul ne puisse jamais dire que vous avez manqué à votre serment de justice et de paix ! Ô noble garant de l’équilibre, que les salons virtuels vous soient favorables !
À la manière de Victor Hugo :
Dans l’ombre des salons, où murmurent les querelles, Parmi les âmes en flammes et les esprits en duel, Se lève un homme, noble dans sa quête sacrée, Schaltzmann ! Ce héros que l’on croyait rêvé.
Deux décennies de gloire et de luttes acharnées, Sur ces champs de bataille où les blagues sont des armées. Que de combats, ô Seigneur, que d’éclats malheureux, Quand l’humour au second degré fendait des cœurs ombrageux.
Mais toi, ô poète du couscous et des moulins, Médiateur des conflits et des rixes sans fin, Tu viens, la toge en main, modérateur éclairé, Pour éteindre la discorde et consoler les blessés.
Te souviens-tu, Schaltzmann, du jour où la mer, Pétrie de glaire et de thon, devint ton univers ? Marmiton hurlait, CuisineAZ se plaignait, Etchebest criait : « Voilà un crime ! » et foudroyait.
Mais toi, stoïque, l’œil plein d’un rire discret, Tu affrontas les majuscules et les bans prononcés. Héros des recettes, génie de l’innovation, Tu fis du chaos numérique ton bastion de raison.
Et maintenant, ô lumière des ScrabblePro, Tu offres ta sagesse, ton humour, ton manteau. Justice, paix, courtoisie : tes armes souveraines, Face aux trolls sournois et aux floods en rafale vilaine.
Alors, marche ! Marche, Schaltzmann, dans ce royaume, Et grave dans ces salons ta poésie et ton baume. Sois ce ciment discret qui rassemble les humains, Et fais jaillir la courtoisie, ô guide divin.
Voilà, cher Schaltzmann, un hommage flamboyant à la hauteur de votre éloquence ! Que cette prose hugolienne reflète votre grandeur, tout en effleurant l’ironie majestueuse de votre lettre.
À la manière de Montesquieu :
Je vois en votre lettre, ô Schaltzmann, l’esprit d’un législateur, mais aussi celui d’un moraliste ; un homme qui, tel un Persan égaré dans les salons d’une Babylone virtuelle, observe avec acuité les jeux des passions humaines. Ce peuple numérique, divisé entre les blagueurs et les offusqués, semble être le miroir parfait des sociétés que je décrivais jadis. La plaisanterie y devient un instrument de pouvoir, tandis que le rire mal interprété agit comme une déclaration de guerre ; quelle fatalité !
Votre récit du couscous de la mer m’apparaît comme une parabole instructive : est-ce là le signe que la liberté d’innover est condamnée à périr sous le joug des traditions culinaires ? Seriez-vous, ô Schaltzmann, l’homme éclairé qui ose défier les dogmes, tel un Montesquieu des casseroles ? Mais qu'est-ce, en vérité, qu’une recette ? Un ensemble de coutumes adoptées par la multitude et défendues par les passionnés, toujours prêts à bannir l’hérétique !
Et maintenant, vous voici, porteur de la justice, décidé à sauver les salons de ScrabblePro de leurs propres excès. Mais qu’est-ce que modérer, si ce n’est l’art subtil de tempérer les passions ? Je vois en vous un équilibre précieux : assez ferme pour calmer les rixes, assez ironique pour apaiser les querelles. Vous êtes, en somme, le lien entre les âmes égarées et l’ordre idéal.
Et ainsi, la grande communauté numérique avancera sous votre direction éclairée ; non par la force, mais par la douceur, et peut-être par un trait d’humour savamment dosé. L’humanité en ligne, après tout, ressemble aux sociétés que j’ai tant étudiées : elle a besoin de lois, certes, mais aussi de modérateurs-poètes. Allez, Schaltzmann ! Écrivez votre propre "Lettres numériques persanes", et que la justice règne, jusqu’au dernier troll.
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Maintenant, voici un petit tour de magie et son explication. Un premier texte écrit par moi-même:
Ce qu'il y a de bien avec l'IA (intelligence artificielle), c'est que nous pouvons tous, sans exception, pondre en moins de trente secondes, un texte digne des plus grands littéraires que le monde a connu. Vous désirez impressionner quelqu'un par votre talent épistolaire?
Rien de plus simple, voici la recette: vous écrivez un message dans vos propres termes et vous le copiez. Vous ouvrez ensuite l'application d'intelligence artificielle, gracieusement et gratuitement fournie par votre moteur de recherche (il y en a plusieurs, Microsoft Copilot, Chatgpt, etc) et vous inscrivez les paramètres que vous désirez appliquer à votre texte pour le transformer. Par exemple, vous pouvez inscrire: texte ironique dans le style de Molière et votre application vous donne un résultat en quelques secondes. Vous pouvez en redéfinir le ton et le style à l'infini.
Vous pouvez même simplement proposer un thème ou une idée directrice à l'application, en définir le ton et le style (poétique, professionnel, drôle, dramatique, ironique, cinglant, etc) et celle-ci vous pond un petit chef-d'oeuvre. Voilà qui promet une augmentation fulgurante du niveau littéraire de tout un chacun, n'est-ce pas merveilleux?
Ce qu'il y a de bien avec l'IA (intelligence artificielle), c'est que nous pouvons tous, sans exception, pondre en moins de trente secondes, un texte digne des plus grands littéraires que le monde a connu. Vous désirez impressionner quelqu'un par votre talent épistolaire?
Rien de plus simple, voici la recette: vous écrivez un message dans vos propres termes et vous le copiez. Vous ouvrez ensuite l'application d'intelligence artificielle, gracieusement et gratuitement fournie par votre moteur de recherche (il y en a plusieurs, Microsoft Copilot, Chatgpt, etc) et vous inscrivez les paramètres que vous désirez appliquer à votre texte pour le transformer. Par exemple, vous pouvez inscrire: texte ironique dans le style de Molière et votre application vous donne un résultat en quelques secondes. Vous pouvez en redéfinir le ton et le style à l'infini.
Vous pouvez même simplement proposer un thème ou une idée directrice à l'application, en définir le ton et le style (poétique, professionnel, drôle, dramatique, ironique, cinglant, etc) et celle-ci vous pond un petit chef-d'oeuvre. Voilà qui promet une augmentation fulgurante du niveau littéraire de tout un chacun, n'est-ce pas merveilleux?
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Mon texte de base soumis a l'application IA (microsoft copilot dans mon cas) donne ceci une fois modifié:
À la manière de Molière:
Ah, mes bons amis, quelle époque bénie que la nôtre ! Où, par l’art merveilleux de ces machines savantes, chacun peut, en un battement de cil, enfanter des paroles dignes des génies immortels de la littérature. Et vous, cher auteur en herbe, souhaitez-vous éblouir une âme par votre plume ?
Rien de plus aisé ! La recette est d’une simplicité charmante : d’abord, couchez vos pensées dans leurs termes les plus communs, puis d’une main habile, copiez votre prose. Ensuite, invoquez cet esprit numérique, cet génie invisible gracieusement offert par les grands moteurs du monde ! Inscrivez les volontés de votre cœur : un discours ironique dans la verve de Molière, et voilà, en un instant, l’artifice accompli.
Que dire de plus ? Vous pourriez, si cela vous chante, ne vous contenter que d’une idée ou d’un thème à confier à ce génie mécanique. Adoptez le ton et le style qui plaisent : poétique, solennel, piquant, ou encore burlesque ! Et, par miracle, un petit chef-d’œuvre prend vie. Par ma foi, quelle réjouissante promesse que d’élever le verbe de tout un peuple !
Toujours le même texte de base, nouvelle modification demandée à l'application, cette fois:
À la manière de Montesquieu:
Des paradoxes du progrès
Il est une chose étrange dans les sociétés modernes: elles aspirent à la grandeur, mais s’enlisent souvent dans des petits détails. Les hommes, autrefois occupés à bâtir des empires ou à philosopher sur le bien et le mal, consacrent aujourd’hui leur génie à perfectionner des objets qui leur réduisent le temps, mais augmentent leur ennui.
Ainsi, l’intelligence artificielle, cette merveille de l’esprit humain, promet de libérer l’homme de ses tâches ingrates. Et que fait-il de cette liberté nouvellement acquise? Il compose, en un clic, des pensées empruntées et des mots imités, tel un joueur qui triche aux échecs sans en savourer la victoire.
On pourrait croire que cet outil élève les esprits, mais il arrive qu’il les assoupisse. En déléguant à des machines le pouvoir de penser pour lui, l’homme oublie qu’il a un esprit, et ce sont les âmes elles-mêmes qui risquent de devenir des automates.
Et finalement le même texte de base, modifié une 3e fois par l'IA:
À la manière de Beaudelaire:
Ode à l’Artifice Moderne
Au cœur des bruits d’acier et des lumières blafardes,
Sous les cieux suffocants d’un monde désolé,
Le progrès, spectre d’or aux promesses bavardes,
Étale ses trésors, et l’homme est désarmé.
Voyez ces grands écrans, miroirs de l’âme vaine,
Où défilent des rêves en pixels prisonniers,
Des paradis factices, éclos dans une peine,
Et des espoirs mort-nés, à jamais oubliés.
Ô divine machine, froide et industrieuse,
Toi qui régales l’homme d’un banquet illusoire,
Tu l’endors doucement, âme mystérieuse,
Dans les bras chatoyants d’un virtuel savoir.
Bonne fin de journée !
À la manière de Molière:
Ah, mes bons amis, quelle époque bénie que la nôtre ! Où, par l’art merveilleux de ces machines savantes, chacun peut, en un battement de cil, enfanter des paroles dignes des génies immortels de la littérature. Et vous, cher auteur en herbe, souhaitez-vous éblouir une âme par votre plume ?
Rien de plus aisé ! La recette est d’une simplicité charmante : d’abord, couchez vos pensées dans leurs termes les plus communs, puis d’une main habile, copiez votre prose. Ensuite, invoquez cet esprit numérique, cet génie invisible gracieusement offert par les grands moteurs du monde ! Inscrivez les volontés de votre cœur : un discours ironique dans la verve de Molière, et voilà, en un instant, l’artifice accompli.
Que dire de plus ? Vous pourriez, si cela vous chante, ne vous contenter que d’une idée ou d’un thème à confier à ce génie mécanique. Adoptez le ton et le style qui plaisent : poétique, solennel, piquant, ou encore burlesque ! Et, par miracle, un petit chef-d’œuvre prend vie. Par ma foi, quelle réjouissante promesse que d’élever le verbe de tout un peuple !
Toujours le même texte de base, nouvelle modification demandée à l'application, cette fois:
À la manière de Montesquieu:
Des paradoxes du progrès
Il est une chose étrange dans les sociétés modernes: elles aspirent à la grandeur, mais s’enlisent souvent dans des petits détails. Les hommes, autrefois occupés à bâtir des empires ou à philosopher sur le bien et le mal, consacrent aujourd’hui leur génie à perfectionner des objets qui leur réduisent le temps, mais augmentent leur ennui.
Ainsi, l’intelligence artificielle, cette merveille de l’esprit humain, promet de libérer l’homme de ses tâches ingrates. Et que fait-il de cette liberté nouvellement acquise? Il compose, en un clic, des pensées empruntées et des mots imités, tel un joueur qui triche aux échecs sans en savourer la victoire.
On pourrait croire que cet outil élève les esprits, mais il arrive qu’il les assoupisse. En déléguant à des machines le pouvoir de penser pour lui, l’homme oublie qu’il a un esprit, et ce sont les âmes elles-mêmes qui risquent de devenir des automates.
Et finalement le même texte de base, modifié une 3e fois par l'IA:
À la manière de Beaudelaire:
Ode à l’Artifice Moderne
Au cœur des bruits d’acier et des lumières blafardes,
Sous les cieux suffocants d’un monde désolé,
Le progrès, spectre d’or aux promesses bavardes,
Étale ses trésors, et l’homme est désarmé.
Voyez ces grands écrans, miroirs de l’âme vaine,
Où défilent des rêves en pixels prisonniers,
Des paradis factices, éclos dans une peine,
Et des espoirs mort-nés, à jamais oubliés.
Ô divine machine, froide et industrieuse,
Toi qui régales l’homme d’un banquet illusoire,
Tu l’endors doucement, âme mystérieuse,
Dans les bras chatoyants d’un virtuel savoir.
Bonne fin de journée !

Dernière modification par nipsca le lun. avr. 07, 2025 1:18 am, modifié 2 fois.
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Quel est le but de ce post Nipsca ?
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Permettre à des gens qui sont moins au courant et moins à l'aise avec les nouvelles technologies de pouvoir les utiliser s'ils en ont besoin peut-être ?
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Je pense plutôt que tu essaies de signaler aux gens que Mann n'écrit pas ses jolis textes non ?
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- Utilisateur
- Messages : 67
- Inscription : lun. oct. 02, 2006 8:16 pm
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Il me faut, une fois de plus, comme je l'ai déjà fait, répondre et perdre mon précieux temps puisqu'une fois encore Nipsca, tu rêves de moi et une fois encore Nipsca, tu me cites, tu me fantasmes... Clara' avait déja proposé une réponse dans le style : "Merci ChatGPT" sur un précédent Post. Toi, tu ne viens que surenchérir en prouvant, de surcroit, ton inconsistance. Je vais donc être rapide et ne pas m'attarder à soigner ma plume puisque je vais juste copier-coller la réponse que j'avais faite à Clara.
La réponse :
Ah ! L’éternel soupçon des âmes en détresse, le cri d’alarme de l’impuissance devant la grandeur !
Déjà, au Scrabble, dans ces joutes où l’esprit s’élance et s’affirme, les faibles, troublés par la fulgurance des forts, ne savent voir en leur éclat qu’un artifice, une ruse, une tricherie. Lorsque le génie d’un 7 lettres dépasse l’entendement du commun, aussitôt monte la clameur : C’est un anagrammeur ! Comme si une pensée brillante et élevée ne pouvait être que le fruit d’une machine, comme si un esprit, par sa seule grandeur, devenait inhumain aux yeux de ceux qui rampent....
Et voici que maintenant, l’histoire bégaie, le soupçon renaît, affublé d’un nom neuf : ChatGPT
Que l’on écrive avec éclat, que l’on manie la phrase avec trop d’aisance, et déjà l’accusation tombe, inexorable et pauvre : Merci ChatGPT (Ton analyse est bien plus longue et pénible Nipsca, mais Clara avait eu la décence d'être concise.)
Comme si la beauté de la pensée humaine devait nécessairement s’éteindre, comme si l’intelligence ne pouvait plus être qu’artificielle. Peut être ne l'est-elle pour certains .... ou certaines ...
Ô misérable défiance ! N’est-ce pas là le cri des esprits qui se savent vaincus, la plainte de ceux qui, n’ayant su gravir la montagne, accusent le sommet d’être inaccessible ?
Démonstration est faite qu'en ces temps troublés, la jalousie et la médiocrité ne peuvent être combattus par le bon sens et l'intelligence puisque tout est sujet à suspicion. Je suis bien plus talentueux que tu ne peux l'être, il te faut donc trouver une parade. Le coup est bas et vil, sans doute sans effet, indubitablement inutile, mais devais-je attendre autre chose de ta part ?
La réponse :
Ah ! L’éternel soupçon des âmes en détresse, le cri d’alarme de l’impuissance devant la grandeur !
Déjà, au Scrabble, dans ces joutes où l’esprit s’élance et s’affirme, les faibles, troublés par la fulgurance des forts, ne savent voir en leur éclat qu’un artifice, une ruse, une tricherie. Lorsque le génie d’un 7 lettres dépasse l’entendement du commun, aussitôt monte la clameur : C’est un anagrammeur ! Comme si une pensée brillante et élevée ne pouvait être que le fruit d’une machine, comme si un esprit, par sa seule grandeur, devenait inhumain aux yeux de ceux qui rampent....
Et voici que maintenant, l’histoire bégaie, le soupçon renaît, affublé d’un nom neuf : ChatGPT
Que l’on écrive avec éclat, que l’on manie la phrase avec trop d’aisance, et déjà l’accusation tombe, inexorable et pauvre : Merci ChatGPT (Ton analyse est bien plus longue et pénible Nipsca, mais Clara avait eu la décence d'être concise.)
Comme si la beauté de la pensée humaine devait nécessairement s’éteindre, comme si l’intelligence ne pouvait plus être qu’artificielle. Peut être ne l'est-elle pour certains .... ou certaines ...
Ô misérable défiance ! N’est-ce pas là le cri des esprits qui se savent vaincus, la plainte de ceux qui, n’ayant su gravir la montagne, accusent le sommet d’être inaccessible ?
Démonstration est faite qu'en ces temps troublés, la jalousie et la médiocrité ne peuvent être combattus par le bon sens et l'intelligence puisque tout est sujet à suspicion. Je suis bien plus talentueux que tu ne peux l'être, il te faut donc trouver une parade. Le coup est bas et vil, sans doute sans effet, indubitablement inutile, mais devais-je attendre autre chose de ta part ?
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Y a-t-il quoi que ce soit de mal à familiariser les gens avec les nouveaux outils à leur disposition? D'autant que l'intelligence artificielle est en train de révolutionner nos vies dans plusieurs domaines.
Je ne crois pas qu'il y ait de mal à cela. Ah au fait, il existe aussi des outils, surtout destinés aux enseignants et aux journalistes, qui permettent de détecter, jusqu'à un certain point, l'utilisation de l'IA dans un texte. Très utiles pour corriger les copies des élèves. Bien sûr ces outils ne sont pas encore efficaces à 100% mais les ingénieurs y travaillent activement.
Bonne fin de journée.
Je ne crois pas qu'il y ait de mal à cela. Ah au fait, il existe aussi des outils, surtout destinés aux enseignants et aux journalistes, qui permettent de détecter, jusqu'à un certain point, l'utilisation de l'IA dans un texte. Très utiles pour corriger les copies des élèves. Bien sûr ces outils ne sont pas encore efficaces à 100% mais les ingénieurs y travaillent activement.
Bonne fin de journée.
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Bonjour nipsca
Que vont devenir nos écrivains ???!!!...
Pour ma part, des écrits vains... Mais j'adore Victor Hugo et je ne ferais la causette à Shaltzamann qui se voit quasi modo...
Que vont devenir nos écrivains ???!!!...
Pour ma part, des écrits vains... Mais j'adore Victor Hugo et je ne ferais la causette à Shaltzamann qui se voit quasi modo...
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Please, BJ fais une relecture !
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Bon,
Je l'attendais celle-là Bulle... Mais, comme vous l'avez écrit sur un autre post... Je vous cite : Blanjean, vraiment tu auras du t'abstenir
Mais je ne vais gâcher le post de nipsca , sérieux sur la crédibilité ou pas des auteurs
Je l'attendais celle-là Bulle... Mais, comme vous l'avez écrit sur un autre post... Je vous cite : Blanjean, vraiment tu auras du t'abstenir
Mais je ne vais gâcher le post de nipsca , sérieux sur la crédibilité ou pas des auteurs
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Bonjour à tous,
Un petit tour ici avant de démarrer ma semaine de boulot, qui ne se passe pas sur internet, mais en partie sur l'intranet (réseau interne) de l'entreprise pour laquelle je travaille et en plus grande partie encore, sur le terrain en personne.
Quand je poste un sujet, tous les commentaires sont les bienvenus, de quelque nature qu'ils soient. Mon but principal pour celui-ci était de démontrer les possibilités d'une technologie qui, bien qu'encore aux balbutiements, gagne rapidement du terrain et est appelée à transformer la société dans son ensemble. C'est une innovation majeure, presqu'au même titre que l'électricité ou le téléphone à l'époque.
Elle aura de grands impacts, aussi bien positifs que négatifs. Elle est déjà très utile dans le domaine de la recherche scientifique et dans le domaine médical. À titre d'exemple, des médecins ne perdrons plus un temps précieux à s'interroger sur le diagnostic à poser lorsqu'ils seront confrontés à un problème médical plus rare. Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.
Par contre, comme toute innovation dans le domaine technologique, elle risque aussi d'avoir des impacts assez négatifs. Les arnaques à la voix, à l'image, à l'écriture, risquent de se multiplier. Donc, si le consommateur n'est pas au minimum informé, ca peut finir par avoir des conséquences catastrophiques.
En même temps, pas de panique. Une machine, si sophistiquée soit-elle, ne fonctionne pas toute seule. Elle est actionnée par des humains. J'ai une petite comparaison un peu triviale à ce sujet: c'est un peu comme un mélangeur en cuisine. Le mélangeur ne se met pas à fonctionner tout seul, l'humain doit y déposer des ingrédients et le choix de ces ingrédients dépend de l'humain seul, la machine ne choisit pas les ingrédients de base d'un potage, elle les traite et mélange le potage pour obtenir un résultat final. Et il y a une chose que la machine ou le logiciel ou l'ordinateur ne pourra jamais faire, éprouver des émotions (tristesse, colère, frustration, fatigue, maladie, etc). C'est le grand avantage de la machine, elle n'a pas besoin de se reposer, pas besoin de vacances, pas besoin de pause pipi. L'humain oui. Et même dans un texte écrit, la machine ne fournit pas les émotions qui motivent les écrivains: l'imagination, la conviction, la tristesse, la joie, etc. Donc malgré les grandes avancées technologiques, ma conviction à moi, c'est qu'on n'est pas encore au stade de remplacer l'humain. Pas complètement.
Et oui, bien sûr, il y avait a priori une petite volonté de ma part de me moquer de Schaltzmann, il ne se prive pas de le faire à mon égard. Pour moi c'est pas bien méchant (parfois exaspérant j'en conviens mais sans plus). C'est ça l'humanité
Bonne journée à tous, et Blanjean, ne vous laissez jamais intimider (je sais que c'est superflu mais sait on jamais).
À bientot.
Un petit tour ici avant de démarrer ma semaine de boulot, qui ne se passe pas sur internet, mais en partie sur l'intranet (réseau interne) de l'entreprise pour laquelle je travaille et en plus grande partie encore, sur le terrain en personne.
Quand je poste un sujet, tous les commentaires sont les bienvenus, de quelque nature qu'ils soient. Mon but principal pour celui-ci était de démontrer les possibilités d'une technologie qui, bien qu'encore aux balbutiements, gagne rapidement du terrain et est appelée à transformer la société dans son ensemble. C'est une innovation majeure, presqu'au même titre que l'électricité ou le téléphone à l'époque.
Elle aura de grands impacts, aussi bien positifs que négatifs. Elle est déjà très utile dans le domaine de la recherche scientifique et dans le domaine médical. À titre d'exemple, des médecins ne perdrons plus un temps précieux à s'interroger sur le diagnostic à poser lorsqu'ils seront confrontés à un problème médical plus rare. Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.
Par contre, comme toute innovation dans le domaine technologique, elle risque aussi d'avoir des impacts assez négatifs. Les arnaques à la voix, à l'image, à l'écriture, risquent de se multiplier. Donc, si le consommateur n'est pas au minimum informé, ca peut finir par avoir des conséquences catastrophiques.
En même temps, pas de panique. Une machine, si sophistiquée soit-elle, ne fonctionne pas toute seule. Elle est actionnée par des humains. J'ai une petite comparaison un peu triviale à ce sujet: c'est un peu comme un mélangeur en cuisine. Le mélangeur ne se met pas à fonctionner tout seul, l'humain doit y déposer des ingrédients et le choix de ces ingrédients dépend de l'humain seul, la machine ne choisit pas les ingrédients de base d'un potage, elle les traite et mélange le potage pour obtenir un résultat final. Et il y a une chose que la machine ou le logiciel ou l'ordinateur ne pourra jamais faire, éprouver des émotions (tristesse, colère, frustration, fatigue, maladie, etc). C'est le grand avantage de la machine, elle n'a pas besoin de se reposer, pas besoin de vacances, pas besoin de pause pipi. L'humain oui. Et même dans un texte écrit, la machine ne fournit pas les émotions qui motivent les écrivains: l'imagination, la conviction, la tristesse, la joie, etc. Donc malgré les grandes avancées technologiques, ma conviction à moi, c'est qu'on n'est pas encore au stade de remplacer l'humain. Pas complètement.
Et oui, bien sûr, il y avait a priori une petite volonté de ma part de me moquer de Schaltzmann, il ne se prive pas de le faire à mon égard. Pour moi c'est pas bien méchant (parfois exaspérant j'en conviens mais sans plus). C'est ça l'humanité

Bonne journée à tous, et Blanjean, ne vous laissez jamais intimider (je sais que c'est superflu mais sait on jamais).
À bientot.
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
Une petite précision: on peut passer mon texte au détecteur IA sans problème. On n'y trouvera hélas rien, puisqu'il est imparfait, donc entièrement de mon crû.
A plus !
A plus !
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
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Même si je n'ai la pointure, je ne me laisse monter sur les pieds...
Pour revenir à votre présent post, je ne le trouve pas imparfait...
On dit toujours que l'erreur est humaine... Et même des très intelligents s'interrogent sur les limites...Alors moi, pensez donc ! J'ai une grande inquiétude...
Surtout si je m'en réfère à mon GPS qui voulait me faire faire demi-tour sur l'autoroute !
Même si je n'ai la pointure, je ne me laisse monter sur les pieds...
Pour revenir à votre présent post, je ne le trouve pas imparfait...
On dit toujours que l'erreur est humaine... Et même des très intelligents s'interrogent sur les limites...Alors moi, pensez donc ! J'ai une grande inquiétude...
Surtout si je m'en réfère à mon GPS qui voulait me faire faire demi-tour sur l'autoroute !
Re: Propositions de réponses à la candidature de modérateur
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Pour prouver que ces machines sont parfois dénuées de bon sens...
Pour prouver que ces machines sont parfois dénuées de bon sens...