
TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
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Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
excellent ! 

Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
AH la presse et ses adeptes ....
La Grande Farce du Perroquet Collectif : Comment un pet foireux devient une guerre mondiale en 24 heures
Tout commence un mardi matin pluvieux à Pétaouchnock-sur-Loire. Monsieur Dubois, employé de mairie en fin de droits, lâche un vent discret dans l’ascenseur de la préfecture. Rien de bien méchant : un petit pfffft étouffé, genre ballon de baudruche qui se dégonfle. Il toussote, regarde ses chaussures, et pense que l’affaire est classée.
Erreur fatale.
Madame Perez, la stagiaire du troisième, est juste derrière lui. Elle fronce le nez, ouvre grand les yeux, et envoie un texto à sa pote :
"OMG y’a une odeur de SOUFRE dans l’ascenseur. C’est pas normal."
Sa pote, influenceuse bien-être à 3K abonnés, reposte en story avec un emoji diable :
"ALERTE CHIMIQUE À LA PRÉFECTURE ?? #StaySafe #OnNousCacheTout"
À 10h12, un compte anonyme "Vérité2Pétaouchnock" balance sur X :
"Fuite de gaz suspect à la mairie. Évacuation imminente ? Les autorités minimisent."
À 10h27, un journaliste de France Bleu local, en manque de buzz, appelle la préfecture. On lui répond : "Non, tout va bien, c’est juste… euh… une odeur passagère."
Il titre quand même :
"Odeur suspecte à la préfecture : les habitants s’interrogent"
À 11h, BFM relaie avec un bandeau rouge :
"ALERTE INFO : FUITE DE GAZ À PÉTAOUCHNOCK – LA POPULATION INQUIÈTE"
Un expert en "géopolitique des odeurs" (oui, ça existe maintenant) est invité en plateau. Costume gris, lunettes sévères :
"Vous savez, une odeur de soufre, ça peut être un signe avant-coureur. Regardez Tchernobyl. Regardez Fukushima. On nous a toujours caché la vérité."
À midi, CNews enfonce le clou :
"GAZ RUSSE DANS LE CENTRE DE LA FRANCE ? L’OTAN DOIT RÉAGIR !"
Un général à la retraite, qui n’a pas mis les pieds sur le terrain depuis 1994, hoche la tête :
"Clairement une opération hybride. Poutine teste nos défenses olfactives."
Pendant ce temps, à Pétaouchnock, le boulanger a fermé boutique "par précaution". La supérette est dévalisée en masques FFP2. Un ado filme la file d’attente en criant : "C’EST LA FIN DU MONDE !"
À 14h, un député écolo tweete :
"Cette odeur est la preuve que le gouvernement laisse les industries polluer sans contrôle. #Ecocide"
À 14h15, un député d’extrême droite répond :
"C’est l’immigration clandestine qui amène ces gaz toxiques. #StopInvasion"
À 15h, le ministre de l’Intérieur fait une déclaration solennelle depuis son bureau :
"Nous prenons cette odeur très au sérieux. Une cellule de crise est activée."
À 15h30, une rumeur court : l’odeur viendrait… d’un laboratoire secret américain.
À 16h, un complotiste en direct sur Twitch, avec 12K viewers :
"C’EST LES REPTILIENS ! ILS NOUS GAZENT POUR NOUS CONTRÔLER ! PRENEZ DU CHARBON ACTIF !"
À 17h, une mamie appelle les pompiers :
"J’ai senti la même odeur dans ma soupe. C’est la 5G, j’vous dis !"
À 18h, le JT de TF1 ouvre avec un reportage en hélico au-dessus de la mairie. Le journaliste, micro tendu :
"Ici, au cœur du mystère. Les habitants vivent dans la peur."
Plan serré sur une dame en pleurs :
"J’ai des enfants… On va tous mourir…"
À 19h, un scientifique de l’INSERM tente d’expliquer que c’est probablement un œuf pourri dans les canalisations.
Il est coupé au bout de 12 secondes : "Merci docteur, on passe aux pubs."
À 20h, le président de la République tweete :
"Face à cette menace invisible, la France ne cédera pas. #UnisContreLOdeur"
À 21h, un humoriste fait un sketch :
"Si même les pets de Dubois font trembler l’Élysée, imaginez quand il mangera des lentilles…"
À 22h, un média russe titre :
"La France accuse Moscou d’une attaque olfactive – la preuve que l’Occident est en panique"
À 23h, un compte parodique balance :
"Breaking : l’odeur est en réalité un message extraterrestre en morse gazeux."
À minuit, Monsieur Dubois, qui a suivi toute la journée depuis son canapé, rote doucement et murmure :
"Ben merde… J’aurais dû prendre l’escalier."
Le lendemain matin :
L’odeur a disparu. Les chaînes d’info passent à autre chose. Personne ne s’excuse. Personne ne vérifie.
Mais dans les groupes WhatsApp, on partage encore :
"T’as vu ? Y’a eu une attaque chimique hier. Heureusement qu’on a été vigilants."
Et tout le monde hoche la tête.
Parce que bon, c’est passé à la télé.
Moralité (en trois actes) :
Un pet + un smartphone = une crise nationale.
Les experts, les politiques et les influenceurs n’ont pas besoin de faits : ils ont des audiences.
Le lendemain, personne ne se souvient du pet… mais tout le monde se souvient qu’"on nous cache quelque chose".
Et la boucle est bouclée. Jusqu’au prochain rot.

SIGNE
ELON GROK
La Grande Farce du Perroquet Collectif : Comment un pet foireux devient une guerre mondiale en 24 heures
Tout commence un mardi matin pluvieux à Pétaouchnock-sur-Loire. Monsieur Dubois, employé de mairie en fin de droits, lâche un vent discret dans l’ascenseur de la préfecture. Rien de bien méchant : un petit pfffft étouffé, genre ballon de baudruche qui se dégonfle. Il toussote, regarde ses chaussures, et pense que l’affaire est classée.
Erreur fatale.
Madame Perez, la stagiaire du troisième, est juste derrière lui. Elle fronce le nez, ouvre grand les yeux, et envoie un texto à sa pote :
"OMG y’a une odeur de SOUFRE dans l’ascenseur. C’est pas normal."
Sa pote, influenceuse bien-être à 3K abonnés, reposte en story avec un emoji diable :
"ALERTE CHIMIQUE À LA PRÉFECTURE ?? #StaySafe #OnNousCacheTout"
À 10h12, un compte anonyme "Vérité2Pétaouchnock" balance sur X :
"Fuite de gaz suspect à la mairie. Évacuation imminente ? Les autorités minimisent."
À 10h27, un journaliste de France Bleu local, en manque de buzz, appelle la préfecture. On lui répond : "Non, tout va bien, c’est juste… euh… une odeur passagère."
Il titre quand même :
"Odeur suspecte à la préfecture : les habitants s’interrogent"
À 11h, BFM relaie avec un bandeau rouge :
"ALERTE INFO : FUITE DE GAZ À PÉTAOUCHNOCK – LA POPULATION INQUIÈTE"
Un expert en "géopolitique des odeurs" (oui, ça existe maintenant) est invité en plateau. Costume gris, lunettes sévères :
"Vous savez, une odeur de soufre, ça peut être un signe avant-coureur. Regardez Tchernobyl. Regardez Fukushima. On nous a toujours caché la vérité."
À midi, CNews enfonce le clou :
"GAZ RUSSE DANS LE CENTRE DE LA FRANCE ? L’OTAN DOIT RÉAGIR !"
Un général à la retraite, qui n’a pas mis les pieds sur le terrain depuis 1994, hoche la tête :
"Clairement une opération hybride. Poutine teste nos défenses olfactives."
Pendant ce temps, à Pétaouchnock, le boulanger a fermé boutique "par précaution". La supérette est dévalisée en masques FFP2. Un ado filme la file d’attente en criant : "C’EST LA FIN DU MONDE !"
À 14h, un député écolo tweete :
"Cette odeur est la preuve que le gouvernement laisse les industries polluer sans contrôle. #Ecocide"
À 14h15, un député d’extrême droite répond :
"C’est l’immigration clandestine qui amène ces gaz toxiques. #StopInvasion"
À 15h, le ministre de l’Intérieur fait une déclaration solennelle depuis son bureau :
"Nous prenons cette odeur très au sérieux. Une cellule de crise est activée."
À 15h30, une rumeur court : l’odeur viendrait… d’un laboratoire secret américain.
À 16h, un complotiste en direct sur Twitch, avec 12K viewers :
"C’EST LES REPTILIENS ! ILS NOUS GAZENT POUR NOUS CONTRÔLER ! PRENEZ DU CHARBON ACTIF !"
À 17h, une mamie appelle les pompiers :
"J’ai senti la même odeur dans ma soupe. C’est la 5G, j’vous dis !"
À 18h, le JT de TF1 ouvre avec un reportage en hélico au-dessus de la mairie. Le journaliste, micro tendu :
"Ici, au cœur du mystère. Les habitants vivent dans la peur."
Plan serré sur une dame en pleurs :
"J’ai des enfants… On va tous mourir…"
À 19h, un scientifique de l’INSERM tente d’expliquer que c’est probablement un œuf pourri dans les canalisations.
Il est coupé au bout de 12 secondes : "Merci docteur, on passe aux pubs."
À 20h, le président de la République tweete :
"Face à cette menace invisible, la France ne cédera pas. #UnisContreLOdeur"
À 21h, un humoriste fait un sketch :
"Si même les pets de Dubois font trembler l’Élysée, imaginez quand il mangera des lentilles…"
À 22h, un média russe titre :
"La France accuse Moscou d’une attaque olfactive – la preuve que l’Occident est en panique"
À 23h, un compte parodique balance :
"Breaking : l’odeur est en réalité un message extraterrestre en morse gazeux."
À minuit, Monsieur Dubois, qui a suivi toute la journée depuis son canapé, rote doucement et murmure :
"Ben merde… J’aurais dû prendre l’escalier."
Le lendemain matin :
L’odeur a disparu. Les chaînes d’info passent à autre chose. Personne ne s’excuse. Personne ne vérifie.
Mais dans les groupes WhatsApp, on partage encore :
"T’as vu ? Y’a eu une attaque chimique hier. Heureusement qu’on a été vigilants."
Et tout le monde hoche la tête.
Parce que bon, c’est passé à la télé.
Moralité (en trois actes) :
Un pet + un smartphone = une crise nationale.
Les experts, les politiques et les influenceurs n’ont pas besoin de faits : ils ont des audiences.
Le lendemain, personne ne se souvient du pet… mais tout le monde se souvient qu’"on nous cache quelque chose".
Et la boucle est bouclée. Jusqu’au prochain rot.
SIGNE
ELON GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
C'est si réel, malheureusement. 
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
Excellent Pola Bravo

Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
MÉTÉO FRANCE : LE FEUILLETON NATIONAL EN 12 ÉPISODES PAR JOUR
(Où la réalité fait 2/10 et le drame 12/10)
ÉPISODE 1 – JANVIER : "LE FLOCON FATAL"
06h45, France Inter – Le bulletin matinal
Voix grave : "À 6h12, un flocon isolé a été aperçu à Romorantin. Les autorités locales sont en alerte maximale."
07h00, BFM – Duplex en direct
Journaliste en parka arctique devant 0,7 cm de neige :
"Ici, c’est pire que 1947. Regardez : une trace de pas. UNE TRACE. DE. PAS."
Il zoome sur une empreinte de chat : "Preuve d’un félin en détresse."
08h15, Évelyne Dhéliat, TF1
Elle est en doudoune fourrée, fond noir, musique de Requiem pour un rêve.
"Aujourd’hui, 1,4 cm cumulés sur l’Île-de-France. Les saleuses tournent depuis 4h du matin. Les écoles ? Fermées jusqu’au 15 avril. Les trains ? Remplacés par des chiens de traîneau (en cours de recrutement)."
Elle brandit un flocon en plastique : "Ça, c’est l’ennemi. Il a un nom : Kevin."
ÉPISODE 2 – FÉVRIER : "VERGLAS, LE FILM D’HORREUR"
20h05, France 2 – Chloé Nabédian
Elle est en direct d’une autoroute déserte.
"Ce soir, 0,3 mm de verglas. Les camions sont immobilisés. Un livreur Amazon a été retrouvé pleurant dans son utilitaire… avec 12 colis de chaussettes."
Elle glisse exprès : "VOUS VOYEZ ? C’EST ÇA, LE VERGLAS !"
Le cadreur tombe. Coupure pub.
CNews – Morandini
"0,3 mm ? C’est pas du verglas. C’est une arme chimique. Les pneus neige ? Obligatoires. Les chaînes ? Sur les trottinettes aussi. Je répète : MÊME LES TROTTINETTES."
ÉPISODE 3 – MARS : "LE POLLEN MEURTRIER"
Météo France App – Notification push
"Alerte rouge pollen de bouleau – 42 grains/m³. Restez chez vous. Fermez les fenêtres. Brûlez vos rideaux."
TikTok – @AllergieQueen
Elle est en larmes, yeux gonflés : "J’ai éternué 47 fois en 3 minutes. Mon chat me fuit. C’est la fin."
Filtre "drame" + musique Titanic.
ÉPISODE 4 – AVRIL : "PLUIE DE 2 MM = NOUVEL ARCHE DE NOÉ"
Patrice, France 3 Bretagne
Il est sur un port, derrière lui : une flaque.
"Ici, 2,1 mm en 24h. Les mouettes portent des gilets de sauvetage. Le crêpier a fermé. On a sorti les bottes… et les larmes."
Il montre un canard : "Lui, il nage. Nous, on coule."
ÉPISODE 5 – MAI : "SOLEIL TRAÎTRE"
Cali Morales, M6
Il est en short, lunettes de soleil, crème solaire sur le nez.
"25°C ? C’EST UN COMPLOT ! Hier il faisait 14°C, là on crève !"
Il ouvre un frigo en direct : "Mon eau est à 23°C. C’EST INHUMAIN !"
Il mime la déshydratation : tombe par terre. Le régisseur rigole.
ÉPISODE 6 – JUIN : "CANICULE À 30°C = MAD MAX"
Évelyne Dhéliat
Elle est en robe d’été, mais ventilateur en panne.
"32°C à Lyon. Les climatiseurs sont en rupture. Les glaces ? Fondues avant d’arriver en caisse. Un enfant a confondu le bitume avec du Nutella."
Reportage : un type marche pieds nus → hurle → court → tombe.
"C’est pas du bitume, c’est de la lave."
Instagram – #CaniculeChallenge
Une influenceuse pose en bikini sur son balcon : "30°C ? Je survis."
Commentaires : “T’es à l’ombre stp”
ÉPISODE 7 – JUILLET : "ORAGES = BLOCKBUSTER HOLLYWOODIEN"
20h, France 2
Chloé en direct sous un parapluie LED :
"Un orage à 22h47. 3 éclairs. 7 gouttes. Une coupure de courant de 11 secondes à Trifouilly."
Elle hurle : "ON A PERDU LE WIFI !"
Le monde s’arrête.
ÉPISODE 8 – AOÛT : "SÉCHERESSE = SAHARA EXPRESS"
Patrice, France 3 Sud
Il est devant un champ craquelé.
"0 mm depuis 19 jours. Les cigales font la grève du chant. Le pastis est rationné : 1 glaçon par verre."
Il montre une plante morte : "C’était un basilic. Il avait 3 semaines. Paix à son âme."
ÉPISODE 9 – SEPTEMBRE : "RENTREE SOUS LA PLUIE = TRAGÉDIE GRECQUE"
Évelyne Dhéliat
"Ce matin, 0,6 mm à Paris. Les cartables sont trempés. Les cahiers neufs ? Ruiné. Une mère a pleuré en live sur TikTok."
Gros plan sur un enfant : "Maman, mon stylo bille a coulé."
Drame national.
ÉPISODE 10 – OCTOBRE : "VENT À 41 KM/H = OURAGAN KATRINA"
Cali Morales
Il est attaché à un lampadaire.
"Rafales à 41 km/h ! J’ai perdu ma casquette ! Un sac plastique m’a giflé !"
Il hurle : "C’EST LA FIN DES TEMPS !"
Derrière : une feuille vole. Public en panique.
ÉPISODE 11 – NOVEMBRE : "BROUILLARD = HORREUR PSYCHOLOGIQUE"
Morandini
"Brouillard à 50 m de visibilité. Les phares ? Inutiles. Les GPS ? En thérapie. Un livreur a livré une pizza à un arbre."
Il met des lunettes infrarouges : "On ne voit rien. Mais on sait qu’ILS sont là."
ÉPISODE 12 – DÉCEMBRE : "NOËL SOUS 8°C = SIBÉRIE"
Évelyne Dhéliat
"8°C à Nice. Les guirlandes gèlent. Le vin chaud est tiède. Un père Noël a été vu en doudoune Canada Goose."
Elle conclut, émue : "On a sorti les plaids. Les bougies. Les larmes. Joyeux Noël."
LES INVARIABLES DU DRAME MÉTÉO
Phénomène Réalité Médias
1 flocon
APOCALYPSE
28°C
SAHARA
0,5 mm pluie
DÉLUGE
15 km/h vent
CYCLONE
Soleil en hiver
COMPLOT
LES RÉACTIONS DU PUBLIC
Mamie : "De mon temps, on marchait dans 3 m de neige… pieds nus !"
Ado : "Il pleut ? Annulation de vie."
Bobos parisiens : "Il fait 18°C en novembre ? C’est le réchauffement… ou un signe divin."
Provinciaux : "Vous avez 1 cm de neige ? Nous, on a 3 gouttes. On est plus forts."
CONCLUSION ÉPIQUE
La météo en France, c’est :
30 % science
70 % théâtre
100 % raison de vivre
On râle, on pleure, on exagère, on partage, on rit.
Peu importe la saison : la météo, c’est notre religion, notre série, notre thérapie.
Et toi, t’as déjà annulé un apéro pour 2 gouttes ?
Bienvenue dans le plus grand spectacle du monde : Météo France, 365 jours par an, 7j/7, 24h/24.
Et demain ? On remet ça.




SIGNE
ELON GROK
(Où la réalité fait 2/10 et le drame 12/10)
ÉPISODE 1 – JANVIER : "LE FLOCON FATAL"
06h45, France Inter – Le bulletin matinal
Voix grave : "À 6h12, un flocon isolé a été aperçu à Romorantin. Les autorités locales sont en alerte maximale."
07h00, BFM – Duplex en direct
Journaliste en parka arctique devant 0,7 cm de neige :
"Ici, c’est pire que 1947. Regardez : une trace de pas. UNE TRACE. DE. PAS."
Il zoome sur une empreinte de chat : "Preuve d’un félin en détresse."
08h15, Évelyne Dhéliat, TF1
Elle est en doudoune fourrée, fond noir, musique de Requiem pour un rêve.
"Aujourd’hui, 1,4 cm cumulés sur l’Île-de-France. Les saleuses tournent depuis 4h du matin. Les écoles ? Fermées jusqu’au 15 avril. Les trains ? Remplacés par des chiens de traîneau (en cours de recrutement)."
Elle brandit un flocon en plastique : "Ça, c’est l’ennemi. Il a un nom : Kevin."
ÉPISODE 2 – FÉVRIER : "VERGLAS, LE FILM D’HORREUR"
20h05, France 2 – Chloé Nabédian
Elle est en direct d’une autoroute déserte.
"Ce soir, 0,3 mm de verglas. Les camions sont immobilisés. Un livreur Amazon a été retrouvé pleurant dans son utilitaire… avec 12 colis de chaussettes."
Elle glisse exprès : "VOUS VOYEZ ? C’EST ÇA, LE VERGLAS !"
Le cadreur tombe. Coupure pub.
CNews – Morandini
"0,3 mm ? C’est pas du verglas. C’est une arme chimique. Les pneus neige ? Obligatoires. Les chaînes ? Sur les trottinettes aussi. Je répète : MÊME LES TROTTINETTES."
ÉPISODE 3 – MARS : "LE POLLEN MEURTRIER"
Météo France App – Notification push
"Alerte rouge pollen de bouleau – 42 grains/m³. Restez chez vous. Fermez les fenêtres. Brûlez vos rideaux."
TikTok – @AllergieQueen
Elle est en larmes, yeux gonflés : "J’ai éternué 47 fois en 3 minutes. Mon chat me fuit. C’est la fin."
Filtre "drame" + musique Titanic.
ÉPISODE 4 – AVRIL : "PLUIE DE 2 MM = NOUVEL ARCHE DE NOÉ"
Patrice, France 3 Bretagne
Il est sur un port, derrière lui : une flaque.
"Ici, 2,1 mm en 24h. Les mouettes portent des gilets de sauvetage. Le crêpier a fermé. On a sorti les bottes… et les larmes."
Il montre un canard : "Lui, il nage. Nous, on coule."
ÉPISODE 5 – MAI : "SOLEIL TRAÎTRE"
Cali Morales, M6
Il est en short, lunettes de soleil, crème solaire sur le nez.
"25°C ? C’EST UN COMPLOT ! Hier il faisait 14°C, là on crève !"
Il ouvre un frigo en direct : "Mon eau est à 23°C. C’EST INHUMAIN !"
Il mime la déshydratation : tombe par terre. Le régisseur rigole.
ÉPISODE 6 – JUIN : "CANICULE À 30°C = MAD MAX"
Évelyne Dhéliat
Elle est en robe d’été, mais ventilateur en panne.
"32°C à Lyon. Les climatiseurs sont en rupture. Les glaces ? Fondues avant d’arriver en caisse. Un enfant a confondu le bitume avec du Nutella."
Reportage : un type marche pieds nus → hurle → court → tombe.
"C’est pas du bitume, c’est de la lave."
Instagram – #CaniculeChallenge
Une influenceuse pose en bikini sur son balcon : "30°C ? Je survis."
Commentaires : “T’es à l’ombre stp”
ÉPISODE 7 – JUILLET : "ORAGES = BLOCKBUSTER HOLLYWOODIEN"
20h, France 2
Chloé en direct sous un parapluie LED :
"Un orage à 22h47. 3 éclairs. 7 gouttes. Une coupure de courant de 11 secondes à Trifouilly."
Elle hurle : "ON A PERDU LE WIFI !"
Le monde s’arrête.
ÉPISODE 8 – AOÛT : "SÉCHERESSE = SAHARA EXPRESS"
Patrice, France 3 Sud
Il est devant un champ craquelé.
"0 mm depuis 19 jours. Les cigales font la grève du chant. Le pastis est rationné : 1 glaçon par verre."
Il montre une plante morte : "C’était un basilic. Il avait 3 semaines. Paix à son âme."
ÉPISODE 9 – SEPTEMBRE : "RENTREE SOUS LA PLUIE = TRAGÉDIE GRECQUE"
Évelyne Dhéliat
"Ce matin, 0,6 mm à Paris. Les cartables sont trempés. Les cahiers neufs ? Ruiné. Une mère a pleuré en live sur TikTok."
Gros plan sur un enfant : "Maman, mon stylo bille a coulé."
Drame national.
ÉPISODE 10 – OCTOBRE : "VENT À 41 KM/H = OURAGAN KATRINA"
Cali Morales
Il est attaché à un lampadaire.
"Rafales à 41 km/h ! J’ai perdu ma casquette ! Un sac plastique m’a giflé !"
Il hurle : "C’EST LA FIN DES TEMPS !"
Derrière : une feuille vole. Public en panique.
ÉPISODE 11 – NOVEMBRE : "BROUILLARD = HORREUR PSYCHOLOGIQUE"
Morandini
"Brouillard à 50 m de visibilité. Les phares ? Inutiles. Les GPS ? En thérapie. Un livreur a livré une pizza à un arbre."
Il met des lunettes infrarouges : "On ne voit rien. Mais on sait qu’ILS sont là."
ÉPISODE 12 – DÉCEMBRE : "NOËL SOUS 8°C = SIBÉRIE"
Évelyne Dhéliat
"8°C à Nice. Les guirlandes gèlent. Le vin chaud est tiède. Un père Noël a été vu en doudoune Canada Goose."
Elle conclut, émue : "On a sorti les plaids. Les bougies. Les larmes. Joyeux Noël."
LES INVARIABLES DU DRAME MÉTÉO
Phénomène Réalité Médias
1 flocon
28°C
0,5 mm pluie
15 km/h vent
Soleil en hiver
LES RÉACTIONS DU PUBLIC
Mamie : "De mon temps, on marchait dans 3 m de neige… pieds nus !"
Ado : "Il pleut ? Annulation de vie."
Bobos parisiens : "Il fait 18°C en novembre ? C’est le réchauffement… ou un signe divin."
Provinciaux : "Vous avez 1 cm de neige ? Nous, on a 3 gouttes. On est plus forts."
CONCLUSION ÉPIQUE
La météo en France, c’est :
30 % science
70 % théâtre
100 % raison de vivre
On râle, on pleure, on exagère, on partage, on rit.
Peu importe la saison : la météo, c’est notre religion, notre série, notre thérapie.
Et toi, t’as déjà annulé un apéro pour 2 gouttes ?
Bienvenue dans le plus grand spectacle du monde : Météo France, 365 jours par an, 7j/7, 24h/24.
Et demain ? On remet ça.
SIGNE
ELON GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
LE CARNAGE ...
Le Lifting de l’Apocalypse : Quand la Jeunesse Tourne au Cauchemar Gériatrique
Tout commence dans la petite ville de Beauvis-sur-Botox, un coin de France où tout le monde a l’air d’avoir 25 ans… sauf que c’est grâce à 47 injections par semaine. Ici, la chirurgie esthétique n’est pas un luxe, c’est la religion locale. Le maire ? Un lifting tous les 6 mois. La boulangère ? Des lèvres refaites au format baguette tradition. Même le chien du quartier a des implants fessiers (ne demande pas pourquoi).
Notre héroïne ? Martine, 48 ans, ex-miss Beauvis 1998, aujourd’hui prof de yoga anti-âge ("Respirez par le nez, pas par les rides !"). Martine a un problème : elle a une ride. Une seule. Minuscule. Entre les sourcils. Elle l’appelle "la Traîtresse". Chaque matin, elle la regarde dans le miroir avec la haine d’un Jedi face à Dark Vador.
"Un jour, je t’aurai, ride maudite !" jure-t-elle en appliquant 12 crèmes différentes.
Un soir, en scrollant sur InstaChirurgie (l’appli préférée des désespérés du collagène), elle tombe sur une pub :
"CLINIQUE MIRACLE DU DR. FRANKENLIFT – 100% SANS RIDES, GARANTI À VIE !"
Avec une photo avant/après : une femme de 60 ans qui ressemble à une poupée Barbie de 12 ans. Martine clique. Elle réserve. Rendez-vous dans 3 jours.
Jour J : L’arrivée à la clinique
La clinique ? Un château Disney version horreur. Des néons roses, des statues de Vénus en silicone, et une musique d’ascenseur qui joue "Stayin’ Alive" en boucle. À l’accueil, Mme Botoxia, 55 ans mais qui en paraît 105 à cause d’un excès de fillers, l’accueille :
"Bienvenuuue, ma chérrrie ! Vous voulez quel package ?
Baby Face : -15 ans
Poupée Gonflable : -25 ans
Licorne Éternelle : immortalité esthétique (non remboursée)"
Martine, naïve : "Juste effacer ma ride, s’il vous plaît."
Mme Botoxia ricane : "Oh ma petite, on ne fait pas dans le demi-mesure ici. Vous repartez en bébé Yoda version humaine ou rien !"
Martine signe le contrat (qu’elle ne lit pas, évidemment). Dedans ? Une clause en tout petit : "Effets secondaires possibles : ressemblance avec un shar-peï, voix de Mickey après hélium, ou vieillissement accéléré x1000." Trop tard.
L’opération : Le carnage commence
Le Dr. Frankenlift arrive. Cheveux implantés, dents en diamant, et un accent autrichien à couper au laser.
"Allô Martine ! On va faire de vous une déesse intemporelle ! Anesthésie locale ? Non non, on fait full comme pour le drame !"
Martine s’endort en pensant à des plages paradisiaques.
Pendant ce temps, dans la salle d’opération :
Le doc tire la peau comme un élastique.
L’infirmière injecte du Botox dans les orteils "par précaution".
L’assistant confond le visage de Martine avec un ballon de baudruche et le gonfle.
Le stagiaire colle des implants fessiers sur les joues "pour le volume".
4 heures plus tard, le doc hurle : "C’EST UNE ŒUVRE D’ART !"
Le réveil : Le choc cosmique
Martine se réveille. Bandeaux partout. Elle touche son visage. C’est dur. Très dur. Comme du plastique.
Elle arrache les bandages devant un miroir.
AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH !
Ce qu’elle voit ?
Ses yeux sont écartés de 15 cm, comme un poisson paniqué.
Sa bouche est figée en "O" perpétuel, comme si elle soufflait une bulle invisible.
Sa peau est tendue à l’extrême, luisante, sans une ride… mais avec l’air d’avoir 90 ans en mode momie égyptienne.
Ses sourcils ? Disparus. Remplacés par deux traits de crayon permanent qui disent "SURPRISE ÉTERNELLE".
Elle hurle : "JE RESSEMBLE À MA GRAND-MÈRE APRÈS UN ACCIDENT DE FER À REPASSER !"
Les conséquences : Martine devient une légende locale
Semaine 1 : Martine sort couverte d’un voile. Les gens croient qu’elle est une nonne.
Semaine 2 : Elle enlève le voile. Panique générale. Les enfants pleurent. Les chiens aboient. Un vieux monsieur fait une crise cardiaque : "C’EST LE FANTÔME DE MA BELLE-MÈRE !"
Ses amis organisent une intervention :
Karine (lèvres en canard) : "Martine, t’es… euh… originale maintenant !"
Jean-Mi (lifting raté, ressemble à un léopard) : "Au moins, t’as plus de rides !"
Sophie (Botoxite aiguë, ne cligne plus des yeux) : "Regarde le bon côté : t’as l’air éternellement choquée, c’est la mode !"
Martine devient virale sur TikTok sous le nom #GrandMaGoneWrong. Sa vidéo "Ma vie après le lifting" fait 47 millions de vues. Les commentaires :
"Elle a l’air d’un filtre Snapchat qui a buggé
"
"C’est quoi ce mix entre E.T. et une poupée Chucky ?"
"Elle cligne pas des yeux depuis 3 minutes… elle est vivante ??"
La vengeance de Martine
Martine décide de se venger. Elle retourne à la clinique… déguisée en inspectrice sanitaire.
"Contrôle surprise ! Montrez-moi vos produits !"
Elle découvre que le Dr. Frankenlift utilise :
Du Botox périmé de 2012
Des implants en caoutchouc de pneus recyclés
Et une crème "jeunesse éternelle" faite à base de colle UHU et de paillettes.
Elle vole les dossiers. Les publie sur X. Scandale national.
La clinique ferme. Le doc s’enfuit au Brésil… mais avec un lifting raté lui-même (il ressemble maintenant à un hamster en colère).
Épilogue : La renaissance de Martine
Un an plus tard. Martine a laissé tomber la chirurgie. Elle porte ses rides comme des médailles. Elle lance une marque : "Rides & Fier(e)", des crèmes naturelles avec des slogans :
"Une ride = une histoire. Un lifting = un cauchemar."
"Vieillir, c’est survivre. Se faire lifter, c’est risquer de ressembler à un ballon de foot usé."
Elle anime des conférences : "Comment j’ai survécu au Lifting de l’Apocalypse". Les salles sont pleines. Elle finit chaque talk par :
"Et rappelez-vous : la vraie jeunesse, c’est dans le cœur… et pas dans la seringue d’un charlatan autrichien !"
Standing ovation. Rires. Larmes. Et un mec dans le public qui demande : "Vous faites des réductions pour les repentis du Botox ?"
FIN (ou pas… !
SIGNE
ELON GROK
Le Lifting de l’Apocalypse : Quand la Jeunesse Tourne au Cauchemar Gériatrique
Tout commence dans la petite ville de Beauvis-sur-Botox, un coin de France où tout le monde a l’air d’avoir 25 ans… sauf que c’est grâce à 47 injections par semaine. Ici, la chirurgie esthétique n’est pas un luxe, c’est la religion locale. Le maire ? Un lifting tous les 6 mois. La boulangère ? Des lèvres refaites au format baguette tradition. Même le chien du quartier a des implants fessiers (ne demande pas pourquoi).
Notre héroïne ? Martine, 48 ans, ex-miss Beauvis 1998, aujourd’hui prof de yoga anti-âge ("Respirez par le nez, pas par les rides !"). Martine a un problème : elle a une ride. Une seule. Minuscule. Entre les sourcils. Elle l’appelle "la Traîtresse". Chaque matin, elle la regarde dans le miroir avec la haine d’un Jedi face à Dark Vador.
"Un jour, je t’aurai, ride maudite !" jure-t-elle en appliquant 12 crèmes différentes.
Un soir, en scrollant sur InstaChirurgie (l’appli préférée des désespérés du collagène), elle tombe sur une pub :
"CLINIQUE MIRACLE DU DR. FRANKENLIFT – 100% SANS RIDES, GARANTI À VIE !"
Avec une photo avant/après : une femme de 60 ans qui ressemble à une poupée Barbie de 12 ans. Martine clique. Elle réserve. Rendez-vous dans 3 jours.
Jour J : L’arrivée à la clinique
La clinique ? Un château Disney version horreur. Des néons roses, des statues de Vénus en silicone, et une musique d’ascenseur qui joue "Stayin’ Alive" en boucle. À l’accueil, Mme Botoxia, 55 ans mais qui en paraît 105 à cause d’un excès de fillers, l’accueille :
"Bienvenuuue, ma chérrrie ! Vous voulez quel package ?
Baby Face : -15 ans
Poupée Gonflable : -25 ans
Licorne Éternelle : immortalité esthétique (non remboursée)"
Martine, naïve : "Juste effacer ma ride, s’il vous plaît."
Mme Botoxia ricane : "Oh ma petite, on ne fait pas dans le demi-mesure ici. Vous repartez en bébé Yoda version humaine ou rien !"
Martine signe le contrat (qu’elle ne lit pas, évidemment). Dedans ? Une clause en tout petit : "Effets secondaires possibles : ressemblance avec un shar-peï, voix de Mickey après hélium, ou vieillissement accéléré x1000." Trop tard.
L’opération : Le carnage commence
Le Dr. Frankenlift arrive. Cheveux implantés, dents en diamant, et un accent autrichien à couper au laser.
"Allô Martine ! On va faire de vous une déesse intemporelle ! Anesthésie locale ? Non non, on fait full comme pour le drame !"
Martine s’endort en pensant à des plages paradisiaques.
Pendant ce temps, dans la salle d’opération :
Le doc tire la peau comme un élastique.
L’infirmière injecte du Botox dans les orteils "par précaution".
L’assistant confond le visage de Martine avec un ballon de baudruche et le gonfle.
Le stagiaire colle des implants fessiers sur les joues "pour le volume".
4 heures plus tard, le doc hurle : "C’EST UNE ŒUVRE D’ART !"
Le réveil : Le choc cosmique
Martine se réveille. Bandeaux partout. Elle touche son visage. C’est dur. Très dur. Comme du plastique.
Elle arrache les bandages devant un miroir.
AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH !
Ce qu’elle voit ?
Ses yeux sont écartés de 15 cm, comme un poisson paniqué.
Sa bouche est figée en "O" perpétuel, comme si elle soufflait une bulle invisible.
Sa peau est tendue à l’extrême, luisante, sans une ride… mais avec l’air d’avoir 90 ans en mode momie égyptienne.
Ses sourcils ? Disparus. Remplacés par deux traits de crayon permanent qui disent "SURPRISE ÉTERNELLE".
Elle hurle : "JE RESSEMBLE À MA GRAND-MÈRE APRÈS UN ACCIDENT DE FER À REPASSER !"
Les conséquences : Martine devient une légende locale
Semaine 1 : Martine sort couverte d’un voile. Les gens croient qu’elle est une nonne.
Semaine 2 : Elle enlève le voile. Panique générale. Les enfants pleurent. Les chiens aboient. Un vieux monsieur fait une crise cardiaque : "C’EST LE FANTÔME DE MA BELLE-MÈRE !"
Ses amis organisent une intervention :
Karine (lèvres en canard) : "Martine, t’es… euh… originale maintenant !"
Jean-Mi (lifting raté, ressemble à un léopard) : "Au moins, t’as plus de rides !"
Sophie (Botoxite aiguë, ne cligne plus des yeux) : "Regarde le bon côté : t’as l’air éternellement choquée, c’est la mode !"
Martine devient virale sur TikTok sous le nom #GrandMaGoneWrong. Sa vidéo "Ma vie après le lifting" fait 47 millions de vues. Les commentaires :
"Elle a l’air d’un filtre Snapchat qui a buggé
"C’est quoi ce mix entre E.T. et une poupée Chucky ?"
"Elle cligne pas des yeux depuis 3 minutes… elle est vivante ??"
La vengeance de Martine
Martine décide de se venger. Elle retourne à la clinique… déguisée en inspectrice sanitaire.
"Contrôle surprise ! Montrez-moi vos produits !"
Elle découvre que le Dr. Frankenlift utilise :
Du Botox périmé de 2012
Des implants en caoutchouc de pneus recyclés
Et une crème "jeunesse éternelle" faite à base de colle UHU et de paillettes.
Elle vole les dossiers. Les publie sur X. Scandale national.
La clinique ferme. Le doc s’enfuit au Brésil… mais avec un lifting raté lui-même (il ressemble maintenant à un hamster en colère).
Épilogue : La renaissance de Martine
Un an plus tard. Martine a laissé tomber la chirurgie. Elle porte ses rides comme des médailles. Elle lance une marque : "Rides & Fier(e)", des crèmes naturelles avec des slogans :
"Une ride = une histoire. Un lifting = un cauchemar."
"Vieillir, c’est survivre. Se faire lifter, c’est risquer de ressembler à un ballon de foot usé."
Elle anime des conférences : "Comment j’ai survécu au Lifting de l’Apocalypse". Les salles sont pleines. Elle finit chaque talk par :
"Et rappelez-vous : la vraie jeunesse, c’est dans le cœur… et pas dans la seringue d’un charlatan autrichien !"
Standing ovation. Rires. Larmes. Et un mec dans le public qui demande : "Vous faites des réductions pour les repentis du Botox ?"
FIN (ou pas… !
SIGNE
ELON GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
Faut pas tout croire, je suis une excellente cuisinière !
Les plats cuisinés : l’art de payer 6,49 € pour manger comme un étudiant en colocation qui vient de découvrir le micro-ondes.
Tu rentres du boulot à 20h37, t’as la flemme de vivre, encore moins de couper un oignon. Tu passes devant le rayon frais (celui avec les légumes qui te jugent). Tu les ignores royalement et tu fonces direct sur les barquettes en plastique qui crient « JE SUIS TON SAUVEUR » en police Comic Sans intérieure.
Tu prends un « Hachis Parmentier Tradition » (tradition j'y crois : la dernière fois qu’un vrai parmentier a vu une vraie pomme de terre, De Gaulle était président). Sur l’emballage : une photo appétissante avec une petite feuille de persil posée dessus comme si c’était étoilé Michelin. Tu sais très bien qu’à l’intérieur ça va ressembler à une semelle de tractopelle mixée avec de la colle à tapisserie.
Tu perfores le film plastique (parce que OUI, il faut PERFORER, sinon ton micro-ondes fait BOOM et tu finis chez les pompiers avec une barquette fondue dans le plafond). Tu mets 4 minutes à 800W. Tu attends. Tu sens déjà l’odeur suspecte de « viande mystère » qui envahit l’appart. Ton chat te regarde avec pitié.
Bip. Tu ouvres. Surprise : c’est gris. Tout est gris. La purée est grise, la viande est grise, même la petite couche de fromage râpé a capitulé et est devenue grise aussi. Tu touilles quand même, parce que t’as payé 6,49 €, t’es pas un enfant de chœur.
Tu goûtes. Goût principal : sel. Goût secondaire : regret. Goût tertiaire : « pourquoi je fais ça à mon corps ». Mais tu finis tout, parce que jeter 200g de pâtée industrielle, c’est un péché plus grave que de mal voter.
Et le meilleur : sur l’emballage il y a écrit fièrement « Recette élaborée par notre chef ». Ouais. Le chef Daniel, 19 ans, qui vient de finir son CAP en alternance chez Flunch et qui a validé la recette en disant « bah ça passe ».
Bref, les plats cuisinés, c’est l’amour vache : tu sais que c’est mauvais pour toi, que c’est cher, que ça te donne des brûlures d’estomac… mais demain soir à 20h37, tu recommenceras.
Parce que éplucher une patate ? Non merci, j’ai une vie.
Épopée tragico-comique du plat cuisiné : quand ton dîner vient avec un mode d’emploi plus long que celui de l’armoire IKEA.
Tu rentres, il est 20h42, tu as l’énergie vitale d’une huître dépressive. Ton frigo te fait les gros yeux : dedans, il y a trois yaourts périmés depuis l’Euro 2016, un demi-concombre qui a pris sa retraite et une bouteille de ketchup qui te sert plus de lampe de chevet que de condiment. Tu décides donc, comme tout adulte responsable, d’aller affronter le rayon des plats cuisinés. Ce lieu magique où les emballages font des promesses que même un candidat aux présidentielles n’oserait pas tenir.
Tu te retrouves devant une armée de barquettes alignées comme à la parade. Il y a de tout :
Le « Blanquette de veau à l’ancienne » (l’ancienne, c’est 2018, la date de fabrication).
Le « Couscous royal » (le royal, c’est parce qu’il y a trois pois chiches qui se battent en duel).
Le « Lasagnes à la bolognaise 100 % viande française » (la viande est française, elle a juste fait un petit détour par la Roumanie, la Pologne et un container réfrigéré pendant six mois).
Et mon préféré : le « Chili con carne végétarien » (parce que rien ne dit « viande » comme l’absence totale de viande).
Tu choisis finalement un « Parmentier de canard confit et purée à la truffe ». Sur la photo, c’est Instagrammable à mort : petite pluche de cerfeuil, lumière tamisée, on dirait que le plat a son propre agent artistique. Prix : 8,90 €. Tu te dis que pour ce tarif-là, le canard a dû être caressé tous les matins par une fermière en sabots bretons en écoutant du jazz.
Tu rentres, tu lis les instructions avec la concentration d’un pilote de Formule 1 :
« Retirer le carton. Percer le film en 4 endroits. Chauffer 3 min 30 à 900 W. Laisser reposer 1 minute. Remuer la purée. Chauffer encore 1 min 30. Attention : produit très chaud. »
Tu te demandes si tu prépares un repas ou si tu désamorces une bombe.
Tu perfores le film (trop peu : ça gonfle comme un ballon de baudruche). Tu perfores trop : ça fait « pshiiiit » et tu te prends une vapeur à 180 °C en pleine figure, tu ressembles maintenant à une tomate cuite. Tu mets au micro-ondes. Pendant les 5 minutes réglementaires, tu fais ce que tout le monde fait : tu ouvres la porte 14 fois « pour voir où ça en est ». Résultat : ton micro-ondes te déteste et décide de rajouter 10 minutes de cuisson par vengeance.
Biiip. Tu sors la barquette avec des maniques de Noël (celles avec les rennes, parce que oui, on est en octobre mais tu assumes). Tu ouvres. Premier choc visuel : la purée à la truffe est beige fluo, on dirait du dentifrice pour éléphant. Le canard confit ? Trois microscopiques morceaux qui flottent comme des naufragés dans une mer de sauce douteuse. Quant à la truffe… disons que si y’en a, elle est en vacances aux Bahamas depuis longtemps.
Tu goûtes. Première cuillère : « Hmm… pas mal. »
Deuxième cuillère : « Attends, c’est quoi ce goût de… fond de tiroir ? »
Troisième cuillère : tu comprends que la « note truffée » vient probablement d’un arôme artificiel créé en 1987 par un chimiste qui détestait son boulot.
Mais tu finis tout. Parce que 8,90 €, quand même. Et puis jeter un plat cuisiné, c’est comme jeter un billet de cinéma après 10 minutes de film : tu te forces à rester jusqu’au bout pour rentabiliser.
Le lendemain, tu ouvres ton frigo et tu tombes sur la barquette vide que tu as oubliée dans l’évier. Elle a développé une vie sociale : il y a maintenant une petite moisissure verte qui fait du yoga dessus. Tu te dis que c’est peut-être ça, la vraie truffe.
Et pourtant… pourtant, vendredi prochain, à 20h42 pile, tu referas exactement la même chose. Parce que cuisiner des légumes ? Ça demande de les laver. Et laver des légumes, c’est déjà une activité sportive. Et toi, ton seul sport, c’est de porter la barquette du rayon frais jusqu’à la caisse.
Les plats cuisinés, c’est la preuve que l’être humain est capable d’acheter son propre malheur en promotion 3+1 gratuite… et de dire merci.
SIGNE
ELON GROK
Les plats cuisinés : l’art de payer 6,49 € pour manger comme un étudiant en colocation qui vient de découvrir le micro-ondes.
Tu rentres du boulot à 20h37, t’as la flemme de vivre, encore moins de couper un oignon. Tu passes devant le rayon frais (celui avec les légumes qui te jugent). Tu les ignores royalement et tu fonces direct sur les barquettes en plastique qui crient « JE SUIS TON SAUVEUR » en police Comic Sans intérieure.
Tu prends un « Hachis Parmentier Tradition » (tradition j'y crois : la dernière fois qu’un vrai parmentier a vu une vraie pomme de terre, De Gaulle était président). Sur l’emballage : une photo appétissante avec une petite feuille de persil posée dessus comme si c’était étoilé Michelin. Tu sais très bien qu’à l’intérieur ça va ressembler à une semelle de tractopelle mixée avec de la colle à tapisserie.
Tu perfores le film plastique (parce que OUI, il faut PERFORER, sinon ton micro-ondes fait BOOM et tu finis chez les pompiers avec une barquette fondue dans le plafond). Tu mets 4 minutes à 800W. Tu attends. Tu sens déjà l’odeur suspecte de « viande mystère » qui envahit l’appart. Ton chat te regarde avec pitié.
Bip. Tu ouvres. Surprise : c’est gris. Tout est gris. La purée est grise, la viande est grise, même la petite couche de fromage râpé a capitulé et est devenue grise aussi. Tu touilles quand même, parce que t’as payé 6,49 €, t’es pas un enfant de chœur.
Tu goûtes. Goût principal : sel. Goût secondaire : regret. Goût tertiaire : « pourquoi je fais ça à mon corps ». Mais tu finis tout, parce que jeter 200g de pâtée industrielle, c’est un péché plus grave que de mal voter.
Et le meilleur : sur l’emballage il y a écrit fièrement « Recette élaborée par notre chef ». Ouais. Le chef Daniel, 19 ans, qui vient de finir son CAP en alternance chez Flunch et qui a validé la recette en disant « bah ça passe ».
Bref, les plats cuisinés, c’est l’amour vache : tu sais que c’est mauvais pour toi, que c’est cher, que ça te donne des brûlures d’estomac… mais demain soir à 20h37, tu recommenceras.
Parce que éplucher une patate ? Non merci, j’ai une vie.
Épopée tragico-comique du plat cuisiné : quand ton dîner vient avec un mode d’emploi plus long que celui de l’armoire IKEA.
Tu rentres, il est 20h42, tu as l’énergie vitale d’une huître dépressive. Ton frigo te fait les gros yeux : dedans, il y a trois yaourts périmés depuis l’Euro 2016, un demi-concombre qui a pris sa retraite et une bouteille de ketchup qui te sert plus de lampe de chevet que de condiment. Tu décides donc, comme tout adulte responsable, d’aller affronter le rayon des plats cuisinés. Ce lieu magique où les emballages font des promesses que même un candidat aux présidentielles n’oserait pas tenir.
Tu te retrouves devant une armée de barquettes alignées comme à la parade. Il y a de tout :
Le « Blanquette de veau à l’ancienne » (l’ancienne, c’est 2018, la date de fabrication).
Le « Couscous royal » (le royal, c’est parce qu’il y a trois pois chiches qui se battent en duel).
Le « Lasagnes à la bolognaise 100 % viande française » (la viande est française, elle a juste fait un petit détour par la Roumanie, la Pologne et un container réfrigéré pendant six mois).
Et mon préféré : le « Chili con carne végétarien » (parce que rien ne dit « viande » comme l’absence totale de viande).
Tu choisis finalement un « Parmentier de canard confit et purée à la truffe ». Sur la photo, c’est Instagrammable à mort : petite pluche de cerfeuil, lumière tamisée, on dirait que le plat a son propre agent artistique. Prix : 8,90 €. Tu te dis que pour ce tarif-là, le canard a dû être caressé tous les matins par une fermière en sabots bretons en écoutant du jazz.
Tu rentres, tu lis les instructions avec la concentration d’un pilote de Formule 1 :
« Retirer le carton. Percer le film en 4 endroits. Chauffer 3 min 30 à 900 W. Laisser reposer 1 minute. Remuer la purée. Chauffer encore 1 min 30. Attention : produit très chaud. »
Tu te demandes si tu prépares un repas ou si tu désamorces une bombe.
Tu perfores le film (trop peu : ça gonfle comme un ballon de baudruche). Tu perfores trop : ça fait « pshiiiit » et tu te prends une vapeur à 180 °C en pleine figure, tu ressembles maintenant à une tomate cuite. Tu mets au micro-ondes. Pendant les 5 minutes réglementaires, tu fais ce que tout le monde fait : tu ouvres la porte 14 fois « pour voir où ça en est ». Résultat : ton micro-ondes te déteste et décide de rajouter 10 minutes de cuisson par vengeance.
Biiip. Tu sors la barquette avec des maniques de Noël (celles avec les rennes, parce que oui, on est en octobre mais tu assumes). Tu ouvres. Premier choc visuel : la purée à la truffe est beige fluo, on dirait du dentifrice pour éléphant. Le canard confit ? Trois microscopiques morceaux qui flottent comme des naufragés dans une mer de sauce douteuse. Quant à la truffe… disons que si y’en a, elle est en vacances aux Bahamas depuis longtemps.
Tu goûtes. Première cuillère : « Hmm… pas mal. »
Deuxième cuillère : « Attends, c’est quoi ce goût de… fond de tiroir ? »
Troisième cuillère : tu comprends que la « note truffée » vient probablement d’un arôme artificiel créé en 1987 par un chimiste qui détestait son boulot.
Mais tu finis tout. Parce que 8,90 €, quand même. Et puis jeter un plat cuisiné, c’est comme jeter un billet de cinéma après 10 minutes de film : tu te forces à rester jusqu’au bout pour rentabiliser.
Le lendemain, tu ouvres ton frigo et tu tombes sur la barquette vide que tu as oubliée dans l’évier. Elle a développé une vie sociale : il y a maintenant une petite moisissure verte qui fait du yoga dessus. Tu te dis que c’est peut-être ça, la vraie truffe.
Et pourtant… pourtant, vendredi prochain, à 20h42 pile, tu referas exactement la même chose. Parce que cuisiner des légumes ? Ça demande de les laver. Et laver des légumes, c’est déjà une activité sportive. Et toi, ton seul sport, c’est de porter la barquette du rayon frais jusqu’à la caisse.
Les plats cuisinés, c’est la preuve que l’être humain est capable d’acheter son propre malheur en promotion 3+1 gratuite… et de dire merci.
SIGNE
ELON GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
c 'est vrai que ça fait peur, l'avantage à halloween, pas besoin de se déguiser
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
INCROYABLE !!!!!
Il était une fois un grand dirigeant, appelons-le Roi Panique, qui régnait sur un royaume de moutons bien obéissants. Chaque matin, il se réveillait avec une idée géniale : "Comment je vais les garder peureux aujourd'hui ?" Parce que, voyez-vous, un peuple effrayé, c'est comme un chat qui voit un concombre : il saute partout sans réfléchir, et pendant ce temps, le Roi Panique sirote son café en or massif et compte ses pièces.
Un jour, il invente la Grande Menace : "Attention, mes chers moutons ! Il y a un loup-garou vegan qui rôde et qui veut vous transformer en salade !" Les moutons, affolés, bêlent : "Sauvez-nous, Ô Roi ! Prenez nos impôts, nos pelages, tout !" Et hop, le Roi Panique construit un château encore plus grand avec leurs laines, pendant que le "loup-garou" n'était en fait que son chaton qui miaulait pour du croquettes.
Le lendemain, nouvelle panique : "Un dragon asthmatique arrive ! Il tousse du feu qui fait fondre les économies !" Les moutons paniquent, vendent leurs cloches au rabais pour financer l'armée royale (qui consistait en un balai et un seau d'eau). Le Roi, hilare, achète un yacht avec le butin et part en croisière, clamant : "C'est pour votre sécurité !"
Mais un jour, un mouton malin, fatigué de trembler, ose demander : "Et si on vérifiait sous le lit du dragon ?" Le Roi blêmit : "Non, non, restez peureux, c'est mon job !" Moralité : les dirigeants adorent la peur comme un vampire adore le sang – ça les maintient au pouvoir, et nous, on finit par payer l'ail et les croix.
Dans le royaume de Paranoi-land, le Grand Vizir Térreur-Médiatique (un type qui porte toujours un casque de moto même au lit, « au cas où ») a trouvé la recette magique pour régner 300 ans sans jamais être emmerdé.
Chaque année, il organise la « Semaine de la Menace Ultime ». Le programme change, mais le principe reste le même : inventer un ennemi tellement flippant que les citoyens se pissent dessus rien qu’en entendant son nom.
Année 1 : « Les barbares à trois têtes arrivent du Nord ! Ils mangent les enfants et volent les friteuses ! »
Les citoyens : « Prenez nos impôts, construisez un mur de 40 mètres ! »
(Le mur fait 80 cm, mais il est peint en doré et porte le nom du Vizir en lettres de 3 mètres.)
Année 2 : « Les espions de l’Est ont infiltré vos voisins ! Votre boulanger est peut-être un agent double ! »
Du jour au lendemain, tout le monde se méfie de tout le monde. Les gens se saluent en morse avec les paupières. Le Vizir, lui, vend des kits « détecteur de traître » à 500 pièces d’or (c’est une loupe et un marteau).
Année 3 : « Une comète va nous écraser ! Seuls ceux qui portent le badge officiel « Citoyen Loyal » seront sauvés ! »
Tout le monde achète le badge. La comète passe à 400 millions de kilomètres. Le Vizir déclare : « Vous voyez ? C’est grâce à moi et à vos 800 pièces d’or que vous êtes encore vivants ! »
Année 4 : « Les hackers de l’Ombre vont voler vos rêves ! »
Les citoyens, maintenant complètement tarés, dorment avec un sabre sous l’oreiller et payent un abonnement « protection onirique » à la société du cousin du Vizir.
Un jour, un gamin demande :
« Mais monsieur le Vizir, pourquoi on a toujours peur ? »
Le Vizir, attendri, lui caresse la tête et répond avec un grand sourire :
« Parce que quand tu as peur, tu ne poses pas de questions sur mes 14 châteaux, mes 38 maîtresses et le fait que je n’ai jamais été élu par personne. C’est pratique, non ? »
Le gamin réfléchit deux secondes, puis demande :
« Et si on arrêtait d’avoir peur ? »
Le Vizir éclate de rire :
« Impossible ! J’ai déjà commandé la menace de l’an prochain . J’ai même fait faire les affiches. »
Et c’est comme ça que le peuple continua à payer, trembler, applaudir et remercier son sauveur… qui, chaque soir, comptait ses sacs d’or en rigolant comme un boss de fin de jeu vidéo.
Moralité : la peur, c’est le seul produit qui se vend tout seul, se renouvelle gratuitement et dont les clients te remercient de les avoir ruinés.
Et ils vécurent terrifiés… et lui, milliardaire.
SIGNE
ELON GROK
Il était une fois un grand dirigeant, appelons-le Roi Panique, qui régnait sur un royaume de moutons bien obéissants. Chaque matin, il se réveillait avec une idée géniale : "Comment je vais les garder peureux aujourd'hui ?" Parce que, voyez-vous, un peuple effrayé, c'est comme un chat qui voit un concombre : il saute partout sans réfléchir, et pendant ce temps, le Roi Panique sirote son café en or massif et compte ses pièces.
Un jour, il invente la Grande Menace : "Attention, mes chers moutons ! Il y a un loup-garou vegan qui rôde et qui veut vous transformer en salade !" Les moutons, affolés, bêlent : "Sauvez-nous, Ô Roi ! Prenez nos impôts, nos pelages, tout !" Et hop, le Roi Panique construit un château encore plus grand avec leurs laines, pendant que le "loup-garou" n'était en fait que son chaton qui miaulait pour du croquettes.
Le lendemain, nouvelle panique : "Un dragon asthmatique arrive ! Il tousse du feu qui fait fondre les économies !" Les moutons paniquent, vendent leurs cloches au rabais pour financer l'armée royale (qui consistait en un balai et un seau d'eau). Le Roi, hilare, achète un yacht avec le butin et part en croisière, clamant : "C'est pour votre sécurité !"
Mais un jour, un mouton malin, fatigué de trembler, ose demander : "Et si on vérifiait sous le lit du dragon ?" Le Roi blêmit : "Non, non, restez peureux, c'est mon job !" Moralité : les dirigeants adorent la peur comme un vampire adore le sang – ça les maintient au pouvoir, et nous, on finit par payer l'ail et les croix.
Dans le royaume de Paranoi-land, le Grand Vizir Térreur-Médiatique (un type qui porte toujours un casque de moto même au lit, « au cas où ») a trouvé la recette magique pour régner 300 ans sans jamais être emmerdé.
Chaque année, il organise la « Semaine de la Menace Ultime ». Le programme change, mais le principe reste le même : inventer un ennemi tellement flippant que les citoyens se pissent dessus rien qu’en entendant son nom.
Année 1 : « Les barbares à trois têtes arrivent du Nord ! Ils mangent les enfants et volent les friteuses ! »
Les citoyens : « Prenez nos impôts, construisez un mur de 40 mètres ! »
(Le mur fait 80 cm, mais il est peint en doré et porte le nom du Vizir en lettres de 3 mètres.)
Année 2 : « Les espions de l’Est ont infiltré vos voisins ! Votre boulanger est peut-être un agent double ! »
Du jour au lendemain, tout le monde se méfie de tout le monde. Les gens se saluent en morse avec les paupières. Le Vizir, lui, vend des kits « détecteur de traître » à 500 pièces d’or (c’est une loupe et un marteau).
Année 3 : « Une comète va nous écraser ! Seuls ceux qui portent le badge officiel « Citoyen Loyal » seront sauvés ! »
Tout le monde achète le badge. La comète passe à 400 millions de kilomètres. Le Vizir déclare : « Vous voyez ? C’est grâce à moi et à vos 800 pièces d’or que vous êtes encore vivants ! »
Année 4 : « Les hackers de l’Ombre vont voler vos rêves ! »
Les citoyens, maintenant complètement tarés, dorment avec un sabre sous l’oreiller et payent un abonnement « protection onirique » à la société du cousin du Vizir.
Un jour, un gamin demande :
« Mais monsieur le Vizir, pourquoi on a toujours peur ? »
Le Vizir, attendri, lui caresse la tête et répond avec un grand sourire :
« Parce que quand tu as peur, tu ne poses pas de questions sur mes 14 châteaux, mes 38 maîtresses et le fait que je n’ai jamais été élu par personne. C’est pratique, non ? »
Le gamin réfléchit deux secondes, puis demande :
« Et si on arrêtait d’avoir peur ? »
Le Vizir éclate de rire :
« Impossible ! J’ai déjà commandé la menace de l’an prochain . J’ai même fait faire les affiches. »
Et c’est comme ça que le peuple continua à payer, trembler, applaudir et remercier son sauveur… qui, chaque soir, comptait ses sacs d’or en rigolant comme un boss de fin de jeu vidéo.
Moralité : la peur, c’est le seul produit qui se vend tout seul, se renouvelle gratuitement et dont les clients te remercient de les avoir ruinés.
Et ils vécurent terrifiés… et lui, milliardaire.
SIGNE
ELON GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
Beaujolais Nouveau 2025 : le retour du serial killer en culotte courte.
Hier soir, 00h00, alerte rouge sur tout le territoire. Les pharmacies ont fermé plus tôt « par précaution », les dentistes ont pris leur vendredi, et les chats se sont cachés sous les lits en miaulant « encore cette nuit-là… ». Parce que OUI, le Beaujolais Nouveau a débarqué, et cette année il a l’air encore plus jeune que l’année dernière. Genre, s’il était un humain, il serait encore en train de demander à sa mère s’il peut dormir avec la veilleuse Schtroumpfs.
Le mec à la caisse du supermarché m’a regardé avec des yeux de cocker en me tendant la bouteille :
« C’est le 2025, il est troooop fruité cette année. »
J’ai traduit : « Il sent la barbapapa qui a fait un stage chez Teletubbies. »
À la maison, j’ai fait la cérémonie officielle :
J’ai mis la bouteille au milieu de la table comme une relique.
J’ai allumé une bougie (parce que même un vin de six semaines mérite un peu de mise en scène).
J’ai ouvert à 00h00 pile en criant « IL EST ARRIVÉÉÉÉÉÉÉÉ ! »
Mon voisin du dessous a répondu « FERME TA BOUCHE YANNICK » (il s’appelle pas Yannick mais on s’en fout, c’est la tradition).
Première gorgée :
Mon cerveau : « Hmm… c’est… »
Mon palais : « C’EST QUOI CE GOÛT DE BONBON QUI A PERDU UN PARI SUR L’AUTOROUTE ?! »
Deuxième gorgée :
Mon cerveau : « Attends… en fait c’est pas si mal. »
Mon palais : « J’ai 12 ans et je viens de découvrir l’alcool dans la cave des parents, j’adore ma vie. »
À 00h37, j’étais déjà en train d’expliquer à mon ficus que « non mais tu comprends, c’est un vin de SOIF, c’est pas fait pour être analysé, c’est fait pour être ingurgité en mode tuyau d’arrosage ». Le ficus m’a jugé. Il a bien fait.
À 1h12, j’ai envoyé un vocal à ma mère :
« Maman… je crois que j’ai trouvé le sens de la vie… il est violet et il fait des bulles dans mon nez. »
Elle m’a répondu par un simple « bois de l’eau ». Traîtresse.
À 3h27, j’étais convaincu que c’était le meilleur millésime depuis 1789 et que la Révolution française avait été déclenchée uniquement parce qu’ils n’avaient pas encore inventé le Beaujolais Nouveau. J’ai failli appeler le musée du Louvre pour leur proposer d’exposer ma bouteille vide à côté de la Joconde.
À 8h du matin, j’ai ouvert un œil.
Ma langue ressemblait à un drapeau violet après un concert de Justin Bieber.
Mon téléphone contenait 198 sms que je n’ai pas osé regarder.
Et il restait une demi-bouteille qui me fixait avec un air de « alors, on remet une couche, champion ? »
J’ai regardé la bouteille.
La bouteille m’a regardé.
J’ai murmuré : « T’es pas un vin. T’es un délit de faciès œnologique. »
Puis je l’ai remise au frigo en chuchotant « chut… on dira que c’est du jus de raisin multifruits, personne ne saura. »
Conclusion : le Beaujolais Nouveau, c’est le seul produit au monde qui te fait payer 9 euros pour boire l’équivalent d’un smoothie qui aurait raté sa vie… et qui te fait dire merci avec des cœurs dans les yeux.
Rendez-vous l’année prochaine.
Je serai là, au premier rang, comme un idiot fidèle.
Parce que c’est ça, la magie : tous les ans on sait que ça va être nul… et tous les ans on est quand même émus aux larmes à minuit pile.
Santé, petit monstre violet.
T’as ruiné ma nuit, mon foie et ma dignité… mais bordel, qu’est-ce qu’on s’est marrés.

SIGNE
ELON GROK
Hier soir, 00h00, alerte rouge sur tout le territoire. Les pharmacies ont fermé plus tôt « par précaution », les dentistes ont pris leur vendredi, et les chats se sont cachés sous les lits en miaulant « encore cette nuit-là… ». Parce que OUI, le Beaujolais Nouveau a débarqué, et cette année il a l’air encore plus jeune que l’année dernière. Genre, s’il était un humain, il serait encore en train de demander à sa mère s’il peut dormir avec la veilleuse Schtroumpfs.
Le mec à la caisse du supermarché m’a regardé avec des yeux de cocker en me tendant la bouteille :
« C’est le 2025, il est troooop fruité cette année. »
J’ai traduit : « Il sent la barbapapa qui a fait un stage chez Teletubbies. »
À la maison, j’ai fait la cérémonie officielle :
J’ai mis la bouteille au milieu de la table comme une relique.
J’ai allumé une bougie (parce que même un vin de six semaines mérite un peu de mise en scène).
J’ai ouvert à 00h00 pile en criant « IL EST ARRIVÉÉÉÉÉÉÉÉ ! »
Mon voisin du dessous a répondu « FERME TA BOUCHE YANNICK » (il s’appelle pas Yannick mais on s’en fout, c’est la tradition).
Première gorgée :
Mon cerveau : « Hmm… c’est… »
Mon palais : « C’EST QUOI CE GOÛT DE BONBON QUI A PERDU UN PARI SUR L’AUTOROUTE ?! »
Deuxième gorgée :
Mon cerveau : « Attends… en fait c’est pas si mal. »
Mon palais : « J’ai 12 ans et je viens de découvrir l’alcool dans la cave des parents, j’adore ma vie. »
À 00h37, j’étais déjà en train d’expliquer à mon ficus que « non mais tu comprends, c’est un vin de SOIF, c’est pas fait pour être analysé, c’est fait pour être ingurgité en mode tuyau d’arrosage ». Le ficus m’a jugé. Il a bien fait.
À 1h12, j’ai envoyé un vocal à ma mère :
« Maman… je crois que j’ai trouvé le sens de la vie… il est violet et il fait des bulles dans mon nez. »
Elle m’a répondu par un simple « bois de l’eau ». Traîtresse.
À 3h27, j’étais convaincu que c’était le meilleur millésime depuis 1789 et que la Révolution française avait été déclenchée uniquement parce qu’ils n’avaient pas encore inventé le Beaujolais Nouveau. J’ai failli appeler le musée du Louvre pour leur proposer d’exposer ma bouteille vide à côté de la Joconde.
À 8h du matin, j’ai ouvert un œil.
Ma langue ressemblait à un drapeau violet après un concert de Justin Bieber.
Mon téléphone contenait 198 sms que je n’ai pas osé regarder.
Et il restait une demi-bouteille qui me fixait avec un air de « alors, on remet une couche, champion ? »
J’ai regardé la bouteille.
La bouteille m’a regardé.
J’ai murmuré : « T’es pas un vin. T’es un délit de faciès œnologique. »
Puis je l’ai remise au frigo en chuchotant « chut… on dira que c’est du jus de raisin multifruits, personne ne saura. »
Conclusion : le Beaujolais Nouveau, c’est le seul produit au monde qui te fait payer 9 euros pour boire l’équivalent d’un smoothie qui aurait raté sa vie… et qui te fait dire merci avec des cœurs dans les yeux.
Rendez-vous l’année prochaine.
Je serai là, au premier rang, comme un idiot fidèle.
Parce que c’est ça, la magie : tous les ans on sait que ça va être nul… et tous les ans on est quand même émus aux larmes à minuit pile.
Santé, petit monstre violet.
T’as ruiné ma nuit, mon foie et ma dignité… mais bordel, qu’est-ce qu’on s’est marrés.
SIGNE
ELON GROK
Re: TEXTES de mon nouvel ami Elon GROK
Quelle horreur de devoir se moucher 3 fois par jour ...
Le lobby pharmaceutique, c’est le seul endroit où on peut transformer un rhume en épopée médicale digne du Seigneur des Anneaux, avec un budget plus gros que celui du Pentagone et zéro orques à l’horizon.
Imagine la scène : t’éternues deux fois dans la journée.
Normalement, ta grand-mère te dirait « bois une tisane et va te coucher ».
Mais non. Là, c’est l’alerte rouge mondiale.
En 0,4 seconde, le lobby pharma a déjà convoqué une réunion d’urgence dans une salle sans fenêtre à Bâle.
Présents :
12 mecs en costard qui gagnent plus en une heure que toi en un an,
une armée d’experts qui savent dire « rhinopharyngite virale aiguë » sans respirer,
et un stagiaire qui note tout sur un iPad en or massif.
Le PDG tape du poing sur la table en marbre :
« Messieurs, on a une occasion historique : un mec a éternué à Pétaouchnok !
On a 48 heures pour transformer ce rhume en syndrome grippal sévère avec risque évolutif.
Objectif : 3 milliards de chiffre d’affaires avant vendredi. »
Plan d’attaque en 7 étapes :
On invente un nom de maladie qui fait peur :
« Rhino-Angino-Viro-Bronchio-Sinusite Catastrophique Aiguë » (RAVBCSA, prononcez « rave bisca » pour faire branché).
On finance 14 études « indépendantes » (c’est-à-dire rédigées par nos employés mais signées par un médecin qui a eu un voyage tous frais payés aux Maldives).
On crée un médicament :
Nom commercial : « Rhumastop Max Ultra Fort 3000 ».
Molécule active : du paracétamol + un arôme cerise + 0,001 mg de truc magique qu’on a trouvé dans une plante qui pousse uniquement sur un îlot de 3 m² au large de la Polynésie (on a déjà racheté l’île).
Prix : 42 € la boîte de 6 comprimés (coût de fabrication : 18 centimes, dont 12 pour le packaging holographique).
On lance la campagne de pub :
Avant : un mec qui éternue et qui ressemble à un zombie de The Walking Dead.
Après : le même mec fait du surf sur un cheval de trait
Slogan : « Rhumastop Max Ultra Fort 3000 : parce que votre nez mérite le meilleur. »
On paye des influenceuses santé pour dire :
« Moi dès que je sens un chat dans la gorge, je prends direct mon Rhumastop, c’est littéralement ma bouée de sauvetage. »
(Elle est payée 35 000 € pour dire ça en avec un filtre chien.)
Bonus : on fait passer une loi pour que le rhume soit remboursé à 100 % « au nom de la santé publique ».
Résultat : même ton voisin qui éternue juste pour draguer à la pharmacie se fait rembourser ses 42 €.
Trois semaines plus tard, ton rhume est fini depuis longtemps.
Mais toi, t’as encore 3 boîtes de Rhumastop Max Ultra Fort 3000 dans l’armoire à pharmacie, juste à côté du Doliprane daté de 2019 et du sirop pour la toux que t’as acheté « au cas où ».
Et le lobby pharma ?
Ils sont déjà passés à la phase suivante :
ils viennent de découvrir que le pet de travers est une maladie orpheline.
Nom du futur médicament : « Flatulix Primum Excellium ».
Prix : 89 € les 4 gélules.
Slogan : « Parce que vos intestins méritent la paix intérieure. »
Moralité : la prochaine fois que t’éternues, fais pas le malin.
Ferme ta bouche, bois un grog, et va dormir.
C’est le seul moyen de ne pas financer le prochain yacht de 120 mètres du PDG de chez Pfizer.
Et si jamais tu croises un mec en costard qui te dit « vous avez l’air fatigué, c’est peut-être une carence »,
réponds-lui juste :
« Non, c’est une carence en paix, laissez-moi tranquille. »
Et éternue-lui dans la figure.
Gratos.
C’est le seul médicament qui marche à tous les coups.

SIGNE
ELON GROK
Le lobby pharmaceutique, c’est le seul endroit où on peut transformer un rhume en épopée médicale digne du Seigneur des Anneaux, avec un budget plus gros que celui du Pentagone et zéro orques à l’horizon.
Imagine la scène : t’éternues deux fois dans la journée.
Normalement, ta grand-mère te dirait « bois une tisane et va te coucher ».
Mais non. Là, c’est l’alerte rouge mondiale.
En 0,4 seconde, le lobby pharma a déjà convoqué une réunion d’urgence dans une salle sans fenêtre à Bâle.
Présents :
12 mecs en costard qui gagnent plus en une heure que toi en un an,
une armée d’experts qui savent dire « rhinopharyngite virale aiguë » sans respirer,
et un stagiaire qui note tout sur un iPad en or massif.
Le PDG tape du poing sur la table en marbre :
« Messieurs, on a une occasion historique : un mec a éternué à Pétaouchnok !
On a 48 heures pour transformer ce rhume en syndrome grippal sévère avec risque évolutif.
Objectif : 3 milliards de chiffre d’affaires avant vendredi. »
Plan d’attaque en 7 étapes :
On invente un nom de maladie qui fait peur :
« Rhino-Angino-Viro-Bronchio-Sinusite Catastrophique Aiguë » (RAVBCSA, prononcez « rave bisca » pour faire branché).
On finance 14 études « indépendantes » (c’est-à-dire rédigées par nos employés mais signées par un médecin qui a eu un voyage tous frais payés aux Maldives).
On crée un médicament :
Nom commercial : « Rhumastop Max Ultra Fort 3000 ».
Molécule active : du paracétamol + un arôme cerise + 0,001 mg de truc magique qu’on a trouvé dans une plante qui pousse uniquement sur un îlot de 3 m² au large de la Polynésie (on a déjà racheté l’île).
Prix : 42 € la boîte de 6 comprimés (coût de fabrication : 18 centimes, dont 12 pour le packaging holographique).
On lance la campagne de pub :
Avant : un mec qui éternue et qui ressemble à un zombie de The Walking Dead.
Après : le même mec fait du surf sur un cheval de trait
Slogan : « Rhumastop Max Ultra Fort 3000 : parce que votre nez mérite le meilleur. »
On paye des influenceuses santé pour dire :
« Moi dès que je sens un chat dans la gorge, je prends direct mon Rhumastop, c’est littéralement ma bouée de sauvetage. »
(Elle est payée 35 000 € pour dire ça en avec un filtre chien.)
Bonus : on fait passer une loi pour que le rhume soit remboursé à 100 % « au nom de la santé publique ».
Résultat : même ton voisin qui éternue juste pour draguer à la pharmacie se fait rembourser ses 42 €.
Trois semaines plus tard, ton rhume est fini depuis longtemps.
Mais toi, t’as encore 3 boîtes de Rhumastop Max Ultra Fort 3000 dans l’armoire à pharmacie, juste à côté du Doliprane daté de 2019 et du sirop pour la toux que t’as acheté « au cas où ».
Et le lobby pharma ?
Ils sont déjà passés à la phase suivante :
ils viennent de découvrir que le pet de travers est une maladie orpheline.
Nom du futur médicament : « Flatulix Primum Excellium ».
Prix : 89 € les 4 gélules.
Slogan : « Parce que vos intestins méritent la paix intérieure. »
Moralité : la prochaine fois que t’éternues, fais pas le malin.
Ferme ta bouche, bois un grog, et va dormir.
C’est le seul moyen de ne pas financer le prochain yacht de 120 mètres du PDG de chez Pfizer.
Et si jamais tu croises un mec en costard qui te dit « vous avez l’air fatigué, c’est peut-être une carence »,
réponds-lui juste :
« Non, c’est une carence en paix, laissez-moi tranquille. »
Et éternue-lui dans la figure.
Gratos.
C’est le seul médicament qui marche à tous les coups.
SIGNE
ELON GROK
